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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Amm

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Tout ce qui a été posté par Amm

  1. Le spécialiste pourrait-il nous surchager les photos pour nous indiquer ce que l'on voit. (poulie, frein, moteur) Merci
  2. Salut. Tu peux, peut-être, déposer ton document sur un serveur de fichier. Je crois que, évidemment, ça nous intéresse tous et la version d'origine, sans mésestimer tes talents, évitera tout un tas d'erreurs.

    Cordialement

  3. Pour les lecteurs non spécialistes, je voulais juste préciser que dans une mine, on évite de laisser descendre l'eau plus bas que le chantier où elle prend source; en effet la puissance consommée est proportionelle à la hauteur du relevage. Donc, en général, à chaque étage, on concentre les eaux de ruisellement par gravité vers un bassin (ou plusieurs) et on la remonte depuis cet étage. C'est la même chose dans le puits où des rigoles dérivent le ruisellement vers les étages. Je pense que dans un puits aussi profond, le relevage ne devait pas se faire d'un seul coup car ça ferait 133 bars en bas... Dans le chabon, y a-t-il aussi des Albraques ? Voici ce que ça donne l'hivers quand un puits se trouve aspirant à cause de l'aérage. Ca caillait Dans le bassin ferreux nord lorrain, il y avait 52 millions de m3 à remonter par an. Le fond était vers -200. Ca fait 3,3 MW 24h/24h avec un rendement de 100%. Bon, toute l'eau ne venait pas du fond non plus. Maintenant c'est plein, l'exhaure est arrêté depuis plus de 2 ans (fin 2005) Je l'avais perdu mais je l'ai retrouvé... LE BASSIN FERRIFERE « Etat des Lieux » au 20 février 2003. Il y a en particulier un schéma très intéressant sur ce sujet exhaure. Quand c'est indiqué actuel, ça veut dire 20 février 2003. La pseudo coupe La vue en plan Je pense que dans le charbon, comme il existe obligatoirement plusieurs puits, le schéma d'exhaure doit être, lui aussi, assez compliqué et le débourbage semble plus complexe. Dans le bouquin des HBL il n'y a pas grand chose mais néanmoins quelques chiffres : en 1955 on remonte 80 million de m3 par an dans le bassin en 1990 53 million de m3 Quelques venues d'eau brutales 1955 Folschviller 20 m3/mn (soit l'équivalent de 10 millions de m3/an) 1974 Marienau 40 m3/mn 1989 La Houve 18 m3/mn Je cite : Merlebach, par exemple, posséde en 1990 un réseau de 43 pompes en série pour remonter les boues jusqu'au jour. L'introduction de nouvelles pompes à pistons plus performantes simplifie cette opération qui ne nécessitera plus que deux pompes de grande puissance à partir de 1993.
  4. Nous c'était en 2003. A cette époque ils remontaient des déchets d'ardoise dans le but de vider une chambre pour reprendre une exploitation descendante par sciage, comme ce qui s'est fait aux Ardoisières d'Angers et qui a été abandonné du fait des risques engendrés par la hauteur des vides produits. Je croyais que Vincent avait suprimé le reportage... mais non L'ardoisière de Warmifontaine N'hésitez surtout pas à écouter le premier reportage sur le funiculaire : un moment d'anthologie; c'est bien mieux qu'une mauvaise vidéo mal éclairée. Le puits c'est 172 m (kidi); on y entend aussi : << sur l'autre>> donc la navette avait bien deux étages. On entend un "STOP". Ca passait par un système d'interphone et non à la voix dans le puits. Beaucoup d'émotion en ré-écoutant ça
  5. Bah non puisque la berline monte dans la benne Y'en avait pas. A Veidrin non plus (-600). Non, en Blegique
  6. La cage pleine pèse 5 tonnes. Si le câble fait 4 cm de diamètre, ça fait 4,4 tonnes de plus. C'est là qu'on voit la necessité absolue de maitriser l'accélération. Hatton, il explique que ce sont les 10m au dessus de la cage (la patte) qui fatigue le plus et qu'il faut la rafraichir souvent. Ca vient du fait que, quand la cage repose sur les taquets, le câble reste tendu du fait de son propre poids, sauf au dessus de la cage. Il fait aussi remarquer que l'un des deux câbles (celui sous la bobine) fatigue plus que l'autre, au niveau du treuil et des molettes, car le câble est tordu deux fois dans un sens différent. C'est au niveau de la molette que ça casse. Je croyais que les parachutes étaient obligatoires mais aucune des cages que j'ai empruntées n'en était équipés (aux Adoisèrex d'Angers, je sais plus, vu que le guidage est sur câble). Ca fait un moment que je voulais poster les photos suivantes parce qu'il n'y a pas un véritable chevalement au dessus du puits de cent septante sept mètres aux taquets (qu'il disait... ). Le puits n'est pas vertical. Le problème c'est que, 20 m en dessous, la pente change et devient encore plus verticale. Alors comme la navette ressemble à ça. les occupants bennent, subitement, en avant Néamoins, on était très en confiance, en observant le treuil A l'origine le treuil était équipé de deux câbles, (un montant, un descendant) mais l'usage d'un des tambours avait été abandonné. (engrenage cassé) Bien suivre les instructions néanmoins Je ne vois pas comment on peut être à 9 dans la navette. Une berline pouvait être immobilisée dans la navette. Ca ne voyageait pas très vite mais dans un bruit... angoissant. Le puits avait été réparé en 1912 car tout le village est brutalement descendu de quelques mètres. Cette réparation fait que le puits est encombré de madriers que l'on voit passer de très très près. A ma question : << et ça tient comment >> la réponse de notre accompagnant : << par habitude >>. Il existait un puits de secours, équipé d'échelles, mais on n'a pas osé demander à y passer, entre autre du fait que les premiers échelons étaient dans un profond bassin évidemment plein d'eau. La descente nous avait, de plus, suffisamment émue. Il faudrait écrire au passé car la tentative de reprise d'exploitation a hélas été abandonnée. Encore un pan du patrimoine qui disparait, car les travaux du fond étaient super estétiques Un de mes souvenirs les plus émouvants
  7. On trouve quelques éléments sur Règlement général sur l'exploitation des mines Article 70 Dans les puits dont les machines sont munies de dispositifs prévus aux articles 103 [104] et 104 [105] cette vitesse maximum ne doit pas dépasser 12 mètres par seconde ni, pour les puits d'extraction, sauf dérogation du service local, les trois quarts de la vitesse aux produits sans cependant qu'il soit imposé de descendre au-dessous de 8 mètres par seconde. En l'absence des dispositifs prévus à l'article 104 [105] ou si ces dispositifs sont hors d'état de fonctionner, la translation du personnel ne doit s'effectuer qu'à une vitesse aussi réduite que l'exigent les conditions de l'installation, sans jamais dépasser 6 mètres ou 2 mètres par seconde selon que la machine est ou n'est pas munie des dispositifs prévus à l'article 103 [104]. Article 104] Les treuils et les machines d'extraction utilisés pour une circulation normale du personnel à une vitesse supérieure à 6 m par seconde doivent en outre être munis des appareils suivants : 1° Un dispositif à action modérable commandant le frein de service; 2° Un limiteur automatique de vitesse empêchant la vitesse de pleine marche, tant aux produits qu'au personnel, de dépasser de plus de 20 p. 100 la vitesse prévue; 3° Un appareil indicateur et enregistreur de la vitesse. Ca semble compliqué
  8. J'ai comme l'impression que ça été un jouet pour les ingénieurs de la Crousille. Un peu comme les dalles bétonnées. Du bel ouvrage; c'est bête de l'avoir remblayé. Rentable : ça n'avait pas d'importance, il fallait l'uranium pour la bombinette au Grand Charles
  9. On trouve beaucoup d'accès à des ouvrages au travers de Google-livres. J'en ai parcouru plusieurs. Je vous propose : Forage Rotary: Le forage dirigé C'est bien le net quand même
  10. Je crois que le bien est de trop. C'est pas très pédagogique. Je ne comprends rien à la figure 14 (page 36). Il y a 3 croquis dan l'un ? Qui pourrait m'expliquer ? J'ai isolé le croquis avec quelques notes que j'ai ajoutées dessus (mais est-ce exact ?) La figure 15, je connais. Le ciment à Grenoble est exploité en général comme ça La figure 16. Il faut savoir que l'exploitation est descendante. La dalle bétonnée (armée) est réalisée en utilisant la sole (le fond de l'exploitation en cours) La figure 17. Il est indiqué pour pendage > 40°. Ca sert à quoi ce type d'exploitation, à se casser la g... ? La figure 18. la chapente, elle est construite en montant ? Est courant ou un caprice à la Crouzille ? La figure 21. Je ne vois pas la géométrie. Aux Malines je n'ai vu que des exploitations à plat (stratiforme) mais ce sont peut-être les seules encore accessibles. La figure 26. C'est assez classique, entre autre pour la fluorine. On ne parle pas de l'exploitation par camada (orthographe??) c'est à dire que la galerie de pied est creusée plus haute que nécessaire à la circulation et une sorte de grenier est constitué avec un plancher en bois qui reprendra tout le poids de minerai du magasin. Des trémies régulent le chargement des berlines. Dans certaines mines anciennes de faible puissance, le plancher du grenier est constitué d'une suite de deux pierres plates format un accent circonflexe ^. J'ai vu ça, dans les mines anciennes de St Laurent le Minier. J'ai vu aussi un remblaiment en couronne. C'était à Langeac et très impressionnat. Le remblai était à 6m du sol, soutenu par des rondins dans un assemblage que je qualifierais d'à la Cantilever. Je n'ai pas compris à quel moment le remblai a été stocké au dessus. L'accès a disparu avant que ça ne s'effondre.
  11. Pour un sytème à câble, je crois qu'avec les aciers actuels il y a une limite de profondeur vers 1500 m. C'est comme les IGH vers 1100 m je crois et ça dépend du béton. Si on fait plus haut, ça fait trop lourd pour la résisatnce unitaire du béton. Idem pour les câbles, c'est lié au couple densité/résistance. Alors comment c'est fait pour des puits à très grande profondeur comme en Afrique du sud ?
  12. Vouters... je comprends pas tout Le Siège de Merlebach Sur la photo La tour + le chevalement La tour : ça sera bien celle qu'on nomera Vouters ? Elle a été construite à côté du puits ? comment a-t-on fait pour qu'il y ait un puits au dessous On retrouve en gros cette photo sur Puits Vouters Si ceux qui savent... merci
  13. Ton puits d'aérage je ne connais pas (pas vu). A Segré, nous avions pris contact avec une association locale (genre cultureux) qui nous avait indiqué que, effet..., il serait intéressant de réouvrir etc... C'est en haut d'une côteau le machin... Il y avait une relativement haute cloture autour... le trou, il est plein de flotte; raz la gueule.
  14. Non... pas de visite Un copain m'a ramené, en janvier 2004, un morceau du dernier charbon français ramassé dans la taille Albert 71. En fait, dans ce type de mine, on ne voit pas grand chose. Le puits, un voyage en train, une descente en tire-fesses. Toutes les anciennes tailles sont scellées et gazées à l'azote. La taille en exploitation est confinée par rapport au reste de la mine et hyper ventilée. J'ai loupé, de peu, Gardane et la SFA... Aux ardoisières d'Angers, j'ai aussi été un peu déçu parce qu'on n'a plus accès aux grands vides qui sont remblayés. L'exploitation actuelle est montante et l'espace vide, au dessus des déchets laissés en place, ne dépasse pas une dizaine de mètres. Les seuls très grands vides que j'ai vus, et encore il y avait énormément de brouillard, c'est dans une ancienne ardoisière maintenant noyée... mais c'est une autre histoire que celle des chevalements.
  15. Retour au charbon : HBL Il s'agit du puits de ventilation et d'extraction (skip) de La Houve La Houve (2002) Puits de service. Curieusement le siège était très facilement accessible et on s'est retrouvé au pied du chevalement lorsque les gardiens nous ont interpelé. En fait ils nous avaient suivi par les caméras de surveillanc. C'est resté très cordiale.
  16. Devinette : peu connu Un indice : c'est en Région Ile de France. Ca doit toujours exister (photo juin 2002). Ca doit être le dernier chevalement d'idf (ce n'était néanmoins pas le seul)
  17. Ardoisières d'Angers Le tambour du treuil avec l'indicateur du point précis d'arrêt sur une recette intermédiaire et le frein La cage double en maintenance (sortie totalement du puits). Cette cage remonte en général des crapauds (sorte de plateau sur rails). Les blocs d'ardoise sont sur ces crapauds et sciés en surface. Plus de photos sur le Puits 7 de Monthibert Je n'avais pas pensé à quelque chose d'aussi simple pour le contre poids. Le gars qui était avec nous n'avait pas su m'expliquer
  18. Joli treuil. C'était un guidage par quoi ? Aux ardoisières d'Angers c'est un guidage par 4 câbles et une seule cage, à deux étages, avec contrepoid (on le croise dans le puits). Je n'avais jamais vu ça. Néanmoins, il y a 2 câbles sur le treuil cylindrique (un dans chaque "sens"). Je n'ai rien compris au fonctionnement
  19. Sur notre mailing-liste spéléo, ce sujet est apparu. J'ai recherché sur le net des informations. En gros, je n'ai rien trouvé. On nous a indiqué ce lien owni.fr Ca a le mérite de présenter un plan. Si vous avez des éléments concrets sur le sujet, autres que le blabla des nombreuses vidéo que l'on trouve au travers de Google, ... faites nous en part
  20. Si on compare ton ancienne photo à celle là http://tchorski.morkitu.org/5/10.jpg Malgré la brume, ça semble avoir disparu. C'est construit maintenant
  21. http://tchorski.mork...rg/5/sfa-01.htm Du temps où ça marchait encore Je ne vois pas ce "petit puits". Peux-tu me donner les coordonnées. Aurait-on manqué quelque chose ? visiblement : oui
  22. Le petit puits n'avait au bout du câble qu'un cufat. A l'odeur, il servait de retour d'air et certainement de puits de secours. Sur la fin, l'exploitation était vers -300m Je n'ai pas eu la chance d'y descendre. Sont tombés sur une importante venue d'eau 2 mois avant qu'on visite et z'ont abandonné l'exploit. Regardez dans Google à "Puits oblique". Ca été une grosse explotation par le passé (pas exactement sur ce site). L'année dernière plein de matériel était entreposé sur le carreau. J'ai fait des photos mais ca serait hors sujet ici.
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