Ma peine fut grande, de recevoir un message de mon ami André, qui m’a appris cette triste nouvelle.
J’ai connu Denis il y a trois ans seulement lors d’un séjour en Auvergne. C’était un gars simple, gentil. Il aimait la vie surtout qu’il allait être en retraite et voulait bien en profiter. Le destin en a décidé autrement.
Nous avions vite fait copain-copain. Il était génial et il connaissait bien les minéraux et les endroits où les trouver. C’est vrai que c’était un moulin à parole, mais c’était un plaisir de l’écouter avec son accent de chez lui.
Quel Bonhomme Le Denis. Tu vas nous manquer mon Gars.
Claude