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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

cqfd

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  1. Ammonite Mais faudrait retourner fouiller pour trouver d’autres morceaux et confirmer voire même identifier
  2. Oui je pense aussi à une empreinte "approximative" d’un gastéropode. Le support calcaire doit être friable et sensible aux éléments. Faudrait retourner sur la zone pour peut-être trouver mieux vraiment identifiable et conforter ce qu’on en pense
  3. Au sujet du gaz, voir aussi sur le site de Gaz de France. Voir les différents gaz (méthane, propane etc...) et en connaître PAR COEUR les propriétés physiques (point éclair etc...) avant de travailler en "zone gaz"... A+
  4. Salut ! Grotte karstique ou carrière de pierres ? Une combinaison des deux ?... J'y crois moins à cause de la dangerosité de creuser dans le karst (roches lessivées avec une qualité variable de texture, sans parler des fissures opportunistes...) Mais bon... A+
  5. Ne jamais croire, toujours être sûr !

  6. Salut ! J'ai déjà sursauté à la suite du soulèvement soudain d'un carrelage... Explication acceptable pour mon cas : la dillatation (rétractation) de la dalle de béton du dessous (appartement neuf) Pour ton cas, je reste pragmatique : est-ce qu'il n'y a pas une machine à laver dans les environs (vibrations lors des essorages) ou un livreur de bouteilles de gaz qui aurait l'habitude de "poser" à cet endroit...? Je connais un peu cette région de Givet et Couvin...etc... On est en pleins terrains schisteux du Primaire Salut ! A+
  7. Deuxième approche... Cénote Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Les cénotes (du maya dz'onot via l'espagnol cenote) sont des gouffres ou avens ou dolines d'effondrement, remplis d'une couche superficielle d'eau douce et parfois d'une couche inférieure d'eau de mer s'ils communiquent avec l'océan par des failles[1]. On les trouve essentiellement en Amérique du Nord et centrale, et plus particulièrement dans la péninsule du Yucatán au Mexique. Ils font office de puits naturels qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de profondeur. Le cénote Zacatón, au centre du Mexique, est le plus profond connu au monde. Un robot plongeur autonome, le DepthX[2], l'a exploré et cartographié[3]. Il a atteint son fond à 318 mètres de profondeur en mai 2007[4]. Sommaire [masquer] 1 Formation 2 Cénotes chez les Mayas 3 Quelques cénotes importantes dans le Yucatán 4 Notes et références 5 Voir aussi Formation[modifier] Article détaillé : karst. Les cénotes sont produits par un phénomène de dissolution et d'effondrement des terrains calcaires situés au-dessus d'un réseau souterrain de grottes et rivières. On les trouve tant dans des endroits pittoresques dans la jungle (Celestún, Yucatán) qu'en ville (Valladolid, Yucatán). Dans le Yucatán, un anneau de cénotes se trouve disposé de manière concentrique autour du cratère de Chicxulub, aussi impute-t-on sa formation à la météorite tombée il y environ 65 millions d'années — celle dont on suppose qu'elle a provoqué (indirectement) l'extinction des dinosaures. Les cénotes dans la zone du Yucatán, sont pour la plupart reliés entre eux par un système de grottes aquatiques, créées lors de l'impact de la météorite. Lorsque l'orifice d'un cénote est située au-dessous de la surface d'un plan d'eau (lagune, lac, mer), il apparaît sous forme d'une tache plus foncée ; on parle alors de blue hole (trou bleu) ou black hole (trou noir) selon la couleur perçue. Cénotes chez les Mayas[modifier] Les Mayas considéraient ces puits comme un moyen de communication avec les dieux de l'infra-monde, le gouffre représentant une bouche. Ils étaient utilisés comme réserve d'eau douce, mais aussi comme lieu de culte dans lesquels étaient jetées des offrandes ou des victimes sacrificielles. Quelques cénotes importantes dans le Yucatán[modifier] Valladolid Celestún Chichén Itzá Tulum Dzibilchaltún Zacatón Cénote de Valladolid Cénote sacré de Chichén Itzá Cénote à Quintana Roo Plongée dans un cénote Notes et références[modifier] ↑ Reportage sur le fonctionnement de l'écosystème associé [archive] ↑ Exploring the deepest underwater caves on Earth... [archive] ↑ Au fond du plus grand trou du monde [archive], Futura-sciences, 18 mars 2007 ↑ En bref : le puits le plus profond du monde exploré par un robot [archive], Futura-sciences, 2 juin 2007 Voir aussi[modifier] Sur les autres projets Wikimedia : Cénote, sur Wikimedia Commons [masquer] v · d · m Spéléologie Spéléologues célèbres Louis Armand • Louis Balsan • Henri Breuil • Norbert Casteret • Pierre Chevalier • Eugène Fournier • Robert de Joly • Guy de Lavaur • Marcel Loubens • Édouard-Alfred Martel • Fernand Petzl • Michel Siffre • Haroun Tazieff • Félix Trombe • Jules Verne • Armand Viré Types de cavité Abîme ; ou gouffre • Aven ; ou adugeoir, barrenc, bétoire, chourun, embùt, endousoir, endouzoère • Carrière • Cénote ; ou black hole, blue hole • Chantoire ; ou chantoir, tchantwère • Doline ; ou cloup, emposieu, sotch, sótano, tiankeng • Glacière • Gouffre • Grotte • Igue • Karst • Mine • Ouvala • Poljé • Ponor • Scialet Listes spéléométriques Grands dénivelés souterrains naturels • Grands développements souterrains naturels • Méga-dolines • Grandes salles souterraines naturelles • Grands puits naturels • Grands siphons naturels • Cavités dans la glace • Grandes cavités pseudokarstiques Pratiques régionales Belgique • France • Liban • Maroc • Papouasie-Nouvelle-Guinée • Suisse • Tunisie Disciplines Archéologie • Biospéologie • Canyonisme • Cataphilie • Cinéma de spéléologie • Exospéléologie • Hydrogéologie • Karstologie • Plongée souterraine • Stygologie • Topographie Matériels et techniques Assurage • Corde • Descendeur • Désobstruction • Dyneema • EPI • Glowstick • Bloqueur • Harnais • Lampe à acétylène • Lampe frontale • Longe • Mousqueton • Nicola • Nœud • Rappel • Tyrolienne Grandes cavités mondiales Mammoth Cave • Jewel Cave • Grotte de Lechuguilla • Hölloch • Henne Morte • Gouffre de la Pierre-Saint-Martin • Kazumura • Grotte de la Luire • Carlsbad Cavern • Gouffre Berger • Goule de Foussoubie • Gouffre Jean-Bernard • Gaping Gill • Krubera-Voronja • Bilemot Gul • Cueva del Viento Grottes ornées Altamira • Arcy-sur-Cure • Bara-Bahau • Bédeilhac • Bernifal • Castillo • Chauvet • Labastide • Combarelles • Cosquer • Cougnac • Cro-Magnon • Cussac • Dame blanche • Espélugues • Font-de-Gaume • Gargas • Khoit Tsenkher • Lascaux • Las Geel • Lombrives • Las Manos • Mas-d'Azil • Merveilles • Montespan • Niaux • Pech Merle • Rouffignac • Saint-Cirq • Saulges • Trois-Frères • La Vache Autres grottes remarquables Aurignac • Clamouse • Dargilan • Demoiselles • Esparros • Han-sur-Lesse • Padirac • Postojna • Škocjan Portail de la géologie Portail de l’eau Ce document provient de « http://fr.wikipedia....&oldid=74646348 ». 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  8. Première approche... 19° 22′ N 89° 12′ W / 19.36, -89.2 (carte) Péninsule du Yucatán Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Péninsule du Yucatán Image satellite de la péninsule du Yucatán. Localisation Pays Belize Guatemala Mexique Districts du Belize Départements du Guatemala États du Mexique tous Petén Campeche, Quintana Roo, Yucatán Coordonnées 19° 22′ Nord 89° 12′ Ouest / 19.36, -89.2 Géolocalisation sur la carte : Mexique (Voir situation sur carte : Mexique) modifier La péninsule du Yucatán se situe au sud-est du Mexique. Elle est bordée par la mer des Caraïbes à l'est, par le golfe du Mexique à l'ouest et par la Sierra Madre del Sur au sud. Elle comprend, au sens strict, les trois États du Campeche, du Yucatán et du Quintana Roo. Au sens le plus large, on peut y adjoindre les deux États du Tabasco et du Chiapas, limitrophes au sud et situés en deçà de l'Isthme de Tehuantepec (ou isthme du Mexique). Sommaire [masquer] 1 Histoire 2 Géographie 3 Réserves naturelles 4 Biodiversité 5 Tourisme 6 Notes et références 7 Liens externes Histoire[modifier] Le cratère de Chicxulub de 180 km de diamètre, dont le centre est proche de la côte nord du Yucatán, serait dû à une météorite de 10 km de diamètre environ ayant percuté la planète à près de 90 000 km/h il y a à peu près 65 millions d’années. Cet impact et ses conséquences seraient une cause possible de l’extinction des dinosaures et de nombreuses autres espèces, marquant également la fin de l’ère secondaire. Autrefois, les Mayas de la période post-classique avaient développé dans la péninsule du Yucatán une civilisation centrée sur des cités-États concurrentes. Parmi ces dernières, Chichén Itzá formait un des plus importants centres religieux. Géographie[modifier] La péninsule mesure approximativement 300 km de long et 250 km de large. Les côtes sont bordées par des récifs coralliens à l’est, alors que mangroves et marécages se développent au nord et à l’ouest. Son altitude s’élève graduellement de la côte caraïbe vers l’intérieur des terres, dépassant rarement 50 mètres. La région est un vaste plateau calcaire, aussi plate qu’une galette, avec quelques petites collines çà et là mais sans montagnes. Le relief le plus élevé est la « sierrita de Tical », dans le sud de la région, qui a une altitude un peu inférieure à 200 m. Le climat du Yucatán est tropical avec des averses annuelles de 700 mm dans le nord-ouest et de 1 700 mm sur l’île de Cozumel. 90 % des précipitations se réalisent durant la saison des pluies de juin à octobre. Elles sont plus importantes dans le sud où la forêt dense se développe. Malgré des pluies assez abondantes, la péninsule du Yucatán n’a pas de véritables rivières, hormis quelques ruisseaux côtiers, dont deux sont notables : le rio Candelaria qui se jette au sud-ouest dans le golfe du Mexique, et le rio Hondo, au sud-est. L’eau coule plutôt par des voies souterraines qui perforent le sous-sol de cette vaste portion calcaire du sud-est mexicain, en créant des cénotes, typiques cavités noyées. Cette particularité hydrographique, associée au climat, entraîne parfois des sécheresses dans le nord-est de la péninsule. Deux spéléoplongeurs ont fait une découverte[réf. nécessaire] majeure. Ils sont parvenus à établir une connexion entre les deuxième et troisième plus grandes rivières souterraines du monde, Sac Actun et Nohoch Nah Chich, prouvant qu’elles n’en forment en fait qu’une seule, la plus étendue répertoriée à ce jour avec ses 153 km. Réserves naturelles[modifier] La péninsule du Yucatán est un des endroits les plus intéressant au monde pour la flore et la faune[1]. Dans cette péninsule, on retrouve les territoires de trois états mexicains, soit le Campeche, le Quintana Roo et le Yucatán[1]. Dans cette région, plusieurs réserves naturelles sont présentes. Les plus importantes sont celle de Calakmul (Réserve de biosphère), de Ría Celestun (Réserve de biosphère), de Sian Ka'an (Réserve de biosphère) et de Otoch Ma’ax Yetel Kooh (Réserve de flore et de faune)[2]. Ces réserves sont contrôlées par le gouvernement du Mexique par l’entremise du Ministère de l’Environnement (Secretaría de Medio Ambiante y Recursos Naturales, SEMARNAT) et de la Commission Nationale pour les Territoires Naturelles Protégées (Comisión Nacional de Áreas Naturales Protegidas, CONANP). Toutefois, 95% des aires protégées ne sont pas propriété du Gouvernement du Mexique mais plutôt détenues par des citoyens ou par des regroupements de communautés (ejido) introduits lors du régime de Cardena[2]. Cette réalité amène une mauvaise communication entre les différents paliers et ainsi rend la biodiversité vulnérable[2]. Biodiversité[modifier] Ces réserves naturelles au Yucatán permettent de conserver un grand nombre d’espèces animales et végétales. Ces espèces sont très importantes pour les communautés mayas présentes dans la péninsule. Il est estimé qu’une communauté maya peut utiliser entre 300 et 500 espèces animales et végétales pour sa survie[1]. Les grosses espèces animales sont impliquées dans l’alimentation lors de la chasse. Parmi celles-ci, on retrouve des espèces herbivores comme le daguet rouge (Mazama americana), le cerf à queue blanche (Odocoileus virginianus) et le tapir de Baird (Tapirus bairdii). Les espèces insectivores comme le tamandua du Mexique (Tamandua mexicana) et le tatou à neuf bandes (Dasypus novemcinctus) sont aussi représentées. La péninsule du Yucatán sert aussi d’habitat pour plusieurs espèces omnivores. Parmi celles-ci, le raton laveur (Procyon lotor), la martre à tête grise (Eira barbara) et le pécari à collier (Pecari tajacu) sont présents. On retrouve aussi des espèces frugivores comme le hurleur du Guatemala (Alouatta pigra) ou l’atèle de Geoffroy (Ateles geoffroyi). Tous ces consommateurs sont essentiels pour le maintien de la population des carnivores. Parmi les petits carnivores, des espèces comme le kinkajou (Potos flavus), le coati à nez blanc (Nasua narica), le margay (Leopardus wiedii) et la belette à longue queue (Mustela frenata) peuplent la péninsule. Le jaguar (Panthera onca), le puma (Puma concolor) ou l’ocelot (Leopardus pardalis) sont de plus gros carnivores[3]. Dans la péninsule du Yucatán, on retrouve aussi plusieurs espèces d’oiseaux. Le colin à gorge noire (Colinus nigrogularis), l’ortalide chacamel (Ortalis vetula), le grand hocco (Crax rubra) et le grand tinamou (Tinamus major) font partie de ces espèces[1],[3]. Les reptiles sont aussi représentés par des espèces comme les iguanes (Ctenosaura sp.) et le crocodile de Morelet (Crocodylus moreletii)[1]. Parmi les espèces présentes, on retrouve toutefois des espèces pour qui la conservation est très importante. En effet, le pécari à lèvres blanches (Tayassu pecari), le tapir de Baird (Tapirus bairdii) ou le grand tinamou (Tinamus major) n'occupent qu'une infime partie du territoire[3]. Ces espèces sont donc dépendantes des actions prises pour la conservation dans cette péninsule. D'autres espèces comme le hurleur du Guatemala (Alouatta pigra), le bassaris d'Amérique centrale (Bassariscus sumichrasti) ou la pénélope panachée (Penelope purpurascens) occupent un plus grand territoire mais sont tout de même menacées en raison de la déforestation[3]. La conservation dans la péninsule du Yucatán est donc très importante, d'autant plus que cette péninsule renferme une grande biodiversité et plusieurs espèces endémiques qui sont nécessaires au maintien de l'écosystème et à la survie des communautés Mayas avoisinantes[1]. Tourisme[modifier] La péninsule du Yucatán est grande comme un quart de la France environ. Elle représente un dixième de la superficie du Mexique. Les principaux attraits touristiques de la péninsule sont les temples mayas, les stations balnéaires du Quintana Roo (Riviera Maya et Cancún), les cénotes, les anciennes villes coloniales et leurs églises... La péninsule contient également près du quart des haciendas mexicaines. Ces domaines, qui datent de la colonisation espagnole, étaient tombés à l'abandon. Certains sont devenus des hôtels de charme. Depuis l'Europe, on accède à la péninsule du Yucatán via Mexico et Mérida ou via Cancún. Notes et références[modifier] ↑ a, b, c, d, e et f Toledo, V.M., Barrerra-Bassols, N., García-Frapolli, E. et Alarcón-Chaires, P. 2008. Uso múltiple y biodiversidad entre los mayos yucatecos (México). Interciencia 33(5)p.345-352 ↑ a, b et c García-Frapolli, E., Ramos-Fernández, G., Galicia, E., Serrano, A. 2009. The complex reality of biodiversity conservation through Natural Protected Area policy : three cases from the Yucatán Peninsula, Mexico. Land Use Policy 26 p.715-722 ↑ a, b, c et d Urquiza-Haas, T., Peres, C.A., Dolmen, P.A. 2009. Regional scale effects of human density and forest disturbance on large-scale bodied vertebrates throughout the Yucatán Peninsula, México. Biological Conservation 142 p.134-148 Liens externes[modifier] Photos du Yucatán Photos, vidéos et plus du Yucatán Site Français sur la Péninsule du Yucatán Portail du monde maritime Portail du Belize Portail du Mexique Portail du Guatemala Ce document provient de « http://fr.wikipedia....&oldid=71543843 ». 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  9. cqfd

    Que puis je ramasser ?

    Salut Tant qu'on ne se pointe pas avec un porte-engin et un bull, en général ça se passe bien... A°
  10. Oui, les essais odorisés sont du côté des usagers, mais du côté de l'acheminement en gros volume (sans odorisant) entre la source et le stockage (il y a des capteurs de gaz, doublés...), des essais initiaux de surpression sont réalisés pour valider les soudures (biaisées) entre tuyaux (jusqu'à environ 130 bars sur les tuyaux de 1 m de diam). Les nouveaux gazoducs sont mis en eau et en pression avant la mise en gaz afin d'éviter le risque d'un point éclair et la limite d'explosivité...dans le gazoduc... (L'air est chassé par l'eau qui est chassée par le gaz) Enfin, l'opération délicate est le raccordement du gazoduc plein de gaz méthane suivi de l'injection dans les tuyaux du stockage...
  11. Salut Le méthane (gaz nat ou gaz de ville) est incolore et inodore et il est légèrement différent des autres gaz que sont le butane, le propane (pour les + connus, il y en a d'autres...). Les deux risques principaux a ne pas perdre de vue sont l'explosivité et les risques liés aux très hautes pressions 90 kg/cm2 (si persement de gazoduc) . La présence d'une torchère (comme dans les raffineries) est une sécurité (réduit le risque d'explosion), car en cas de fuite même importante, le gaz s'enflammerait si insuffisament dilué à l'air. Le point éclair est une propriété très important à connaître. Véhiculé par gazoducs depuis la Norvège (par exemple...), il est injecté et stocké en sous-sol dans de grandes poches de roches poreuses ou salines. Il est maintenu à haute pression, la poche de gaz est gonflée sous un anticlinal et l'eau du sous-sol est plaquée aux limites de la poche et rend étanche le réservoir souterrain naturel situé vers 1000 mètres (+ ou - 250m). Il est odorisé au moment de son soutirage avec du THT (tétra-hydro-thiophène) en dose infime par m3 (odorisant très puissant, une goutte au sol d'un bâtiment et celui-ci est "gazé" pour la semaine (alors qu'il n'y a pas forcément de gaz)). Comme il remonte du sous-sol avec de l'eau et des impuretés, d'autres opérations ont lieu. On distingue deux types de puits : injection/soutirage et hors gaz. Les puits hors gaz sont périmétriques à la bulle de gaz et doivent rester hors gaz...(sinon fuite) Voir aussi les infos sur les stockages souterrains http://www.developpe...ains,10937.html (je ne retrouve pas une vieille doc avec des mesures précises sur les gaz pour le moment...dans un coin, un carton... ) sur google : rechercher limite d'explosivité A+
  12. Salut Voici quelques idées et mots directeurs pour commencer une réponse à la première question (rôle du climat et sédiments) Le climat résulte de la répétition d'une météorologie typique (saisons, pluviométrie, ensoleillement, etc...) avec des évolutions qui n'ont pas attendues l'influence de l'action de l'homme. La surface du sol et l'atmosphère sont des lieux d'échanges d'énergies solaire et terrestre avec réémission d'une partie du rayonnement vers l'espace et conservation d'une moindre part : effet de serre. Le 60° degré de latitude nord (latitude d'Oslo) est la latitude avec le plus de terres émergées. L'albédo y varie plus qu'aux latitudes océaniques. L'albédo est la quantité d'énergie solaire réfléchie par la Terre vers l'espace. Ce refoulement est variable en fonction des agents réflecteurs présents que sont les nuages ou la neige alors que les océans, les forêts sont plutôt des agents collecteurs. Le climat influence la biodiversité, qui elle-même façonne le sol : le développement des plantes, des animaux qui vont recouvrir et occuper le sol (mousses, vers, arbres, herbes etc) . On sera en présence de sols typiques de zones tempérées ou désertiques ou polaires ou équatoriales). Avec les temps géologiques et les évènements intervenus, les sols enregistrent des conditions et deviennent des sous-sols (le sol est l'épaisseur de terrain où la vie existe au temps actuel). Si les conditions continues sont favorables au développement de la végétation, les plantes recouvrent le sol, le fixent et participent avec les animaux à la création de la matière organique, d'humus, avec un enchaînement de fertilité et de protection des sols et des roches... Inversement, l'absence de couvert végétal expose les sols et les roches aux influences directes du climat : altération chimique et altération mécanique : oxydation, hydrolyse, isotopie, érosion par action de l'eau, du vent, des glaciers, ensoleillement, gel, écarts de températures... En milieu océanique, le climat participe (avec d'autres paramètres : courants marins...) aux conditions de vie du zooplancton et du phytoplancton (foraminifères, radiolaires, diatomées et coccolithosporides), lesquels influenceront à leur mort (s'ils n'ont pas été ingérés) les dépots calcaires, argileux ou siliceux en tombant au fond de l'eau. Phénomènes de dilution partielle ou totale en fonction de la profondeur et de la qualité de l'eau (saturée ou non etc...) Les sédiments sont constitués de rochers, de grains de sables (de tailles, de matières et de formes variables), d'argile, de calcaire, de silice et de matière organique. L'analyse des sables apporte des informations sur le type d'érosion : plutôt aquatique, plutôt aérien... Présence de fossiles, de pollen, de graines de milieux climatiques déterminés... Evolution sous forme de grès de compositions variées. Bon, pouce ! bière
  13. Salut Voici un lien vers un site : "unithèque", c'est une librairie en ligne à explorer... http://www.unitheque...CFUUPfAodYFhsmg ...et puis le site de la librairie Joseph Gibert http://www.gibertjoseph.com/livres/savoirs/sciences-techniques-informatique.html?order=asc_price&price=%5B5.01+TO+100%5D&gclid=CN_NpfHvoq0CFSEhtAodAlFenQ A+
  14. Salut Voici un lien vers un site très intéressant de culture scientifique, à garder sous le coude, sur la table de chevet, etc... http://www.culturediff.org/index.htm A+
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