Quaternaire

je dirais aussi inselberg je pense que ce sont des voiles de cyanobactéries qui colore la roche apellés biofilm. Un abri sous roche formation: je sais pas trop

On apelle cela des tempestites. La séquence idéale de tempestite se caractérise par les éléments suivants (de bas en haut): - des sillons (" furrows ") plus ou moins érosifs à la base, témoins de l'augmentation brutale de la vitesse des vagues et des gouttières d'érosion ("gutter casts"). Les sillons sont des figures de base de banc, concaves, de largeur supérieure à 50 cm ; les gouttières peuvent être droites ou sinueuses, ont de 2 à 25 cm de largeur pour une profondeur pouvant atteindre 15 cm. Leur surface peut comporter de nombreux "tool marks" et leurs parois latérales peuvent être abruptes; - un premier dépôt grossier très souvent constitué de coquilles et débris; - un sable avec des laminations planes parallèles, passant vers le haut à des stratifications en mamelons, puis éventuellement des stratifications de rides de vagues; - des sédiments plus fins, souvent bioturbés: ces derniers dépôts correspondant à la sédimentation de "beau temps", avec une diminution de la vitesse de sédimentation et de la granulométrie. Cette séquence est la plus complète. En zone plus distale, les sillons sont de moins en moins marqués et finissent par disparaître vers le large. En ce qui concerne la séquence sédimentaire, elle se réduit latéralement d'abord aux sables à stratification en mamelons, ensuite à des "strates granoclassées" laminaires d'épaisseur centimétrique, enfin à des sphéroïdes. Les sphéroïdes sont des objets ovoïdes cm à dm, déposés en lits, le grand axe dans la stratification. Ils sont souvent laminaires ou présentent des stratifications entrecroisées. Il faut noter aussi qu'une caractéristique importante des tempestites est leur caractère amalgamé. Ceci signifie qu'une tempestite peut remanier une bonne part de la tempestite précédente, détruisant ainsi la partie supérieure de la séquence (sables à rides de vague, dépôt de beau temps).

Salut, j'aurais voulu le nom précis de ce type de vallée... Cela dis, Géomorpho tu a bien analysé cette photo, on vois l'oeil aguerri du géomorphologue, a la géomorphologie quelle belle discipline... En effet cette photo nous présente bel est bien un escarpement, ça c'est facile. Il est vrai que pour quelqu'un connaissant la géomorpho, cela rapelle les facettes triangulaires ( j'aurais pas du apelé le fichier facette ) résultante morphologique du jeu successif de mouvement tectonique répété élaborées par la mise en place d'un réseau hydrographique primaire sur un escarpement produit par une faille normale. Sur la photo, cela ressemble bien a des facettes triangulaires mais c’est un autre phénomène. Ici la vallée est bien trop mature morphologiquement pour que cela fasse partie du mode de formation des facettes triangulaires. Il s’agit en fait de ce que l’on apelle un « Wineglass canyon », a votre santé… La différence avec les valées mis en plavce pour les facettes triangulaire, c’est que pour ces dernieres le profil de la vallée est rectiligne suivant une même pente délimitant ces fameuses facettes. Sur la photo, regardez le profil de la vallée en partant du haut, la ligne de pente a une certaine inclinaison de disons 40 a 50 degré par rapport a la verticale, ensuite passe a environ 80 pour etre de 10 degré dans sa partie la plus basse et c’est la toute l’explication. La vallée c’est développé pendant une phase stable tectoniquement, pour acquérire une certaine maturité morphologique, ensuite la faille normale présente au pied de l’escarpement a jouée, créant un nouvel escarpement de faille, il s’en est suivit d’une erosion importante au niveau de la riviere afin d’atteindre son nouveau niveau de base, ceci induit une coupe tres importante et verticale du canyon donnant cette allure en forme de verre a vin. wineglass.doc facette_triangulaire.doc

Dans la photo ci dessous comment ce nomme ce phénomène, quelle est son mode de formation? Géomorpho soit digne de ton pseudo facette.php.jpg

où dans la vallée de l'Ubaye, tu peux préciser...

a tous, perso j'aime beaucoup les quizz... je propose que celui qui trouve la réponse a un quizz soit celui qui propose le prochain Qu'en pensez vous?

Saluche, un glacier rocheux?

BRAVO Bonne réponse de Géomorpho il s'agit d'un Paléosol recouvert par une nouvelle coulée basaltique dans l'Oregon USA, je vois la par ton pseudo que tu est formé la la Géologie de surface et cela me réjouit. Les autres merci de vos réponse, je voulais vous montrer que la Géologie de surface, et les sols sont d'un grand intéret.

Saluche J'avoue que certain s'en sorte bien, comme Montroc81 tu est proche de la réponse. Comme quoi, l'oservation de terrain est la meilleure école mais une cuirasse latéritique est un cas très particulier de ce que l'on apelles....

Vous chauffez mais cela manque de précision

:coucou!: Et la c'est quoi?

:coucou!: bon vous avez tous trouvé il s'agit d'une fosse d'étude de tourbe sutr l'Isle de Skye en Ecosse.

Bonjour, vu votre requete qui est de vous procurer des pierres, je pense que la tailleuse de pierre avec qui vous travailler est la personne la plus apte a vous procurer ces pierres. J'ai déja discuté avec des tailleurs de pierre et leur language est assez differents de celui des géologues. Il parle de pierre tendre, facile a travailler, etc. Un marbre de tailleur de pierre n'est pas forcement un marbre dans le vrai sens géologique. Ils donnent souvent des appellations locales comme la pierre de trucmuche qui n'a pas vraiment de sens géologique. Mon conseil est de soit vous focaliser sur la taille et alors demander à la tailleuse de pierre d'expliquer avec son langage, soit si vous voulez parler géologie, adressez vous a une association géologique de votre region. Vous pouvez aussi demander à des marbreries.

Proposition de stage Cartographie des sols au 1/50 000 Le stage d’une durée de 4 à 6 mois dans l’entreprise sera consacré à la réalisation d’une carte des sols au 50 000 ème et à la mise en perspective de la valorisation de données sur le sol. Dans le cadre de ses missions, le stagiaire devra participer à la collecte et au traitement de données de terrain selon un cahier des charges et une méthodologie préétablis de façon à valoriser ses données sous la base de données DONESOL de l’INRA, et sous forme cartographique par une restitution des données sous le système d’information géographique de la Chambre d’Agriculture de Seine-et-Marne (Logiciel Arcinfo et Arcview 9) en lien avec les SIG des différents partenaires du projet : INRA, Région Ile-de-France, Département de Seine-et-Marne, Iaurif. Tout au long de son stage, le stagiaire sera confronté aux réalités du travail seul ou en équipe tant sur le terrain qu’au bureau. Ce stage s’inscrit dans le contexte d’un « domaine » dédié au sol où le stagiaire sera amené à mettre ses travaux en perspective afin de s’insérer dans les missions du service : inventaire et cartographie des sols, mesure de l’évolution des sols et conservation, études des systèmes de gestion et propositions de gestion durable, communication (veille documentaire, mise à disposition des données, programme de formation et d’information sur les sols). Ce service présente la particularité de fonctionner avec un comité de pilotage composé, entre autres, de la Région Ile-de-France, du Département de Seine-et-Marne, et de différents partenaires comme les services de l’Etat, des associations. Outre l’objectif majeur, la publication d’une carte au 50 000 ème, le stagiaire pourra dégager avec son maître de stage, et en liaison avec son établissement scientifique, une problématique de nature à valoriser plus avant son travail de stage dans la perspective de bien s’adapter aux objectifs pédagogiques de sa formation. Lieu : Le Mée-sur-Seine (77). Indemnisation du stagiaire : 360 €, conformément au décret 2006-757 du 2 juin 2006, dénommé « loi » pour l’égalité des « chances » applicable au 1er juillet 2006. Un véhicule léger est indispensable, frais kilométriques couverts (0,40 €/km). Contact : Lettre de motivation et CV à adresser à : Philippe Loussot Domaine protection des ressources : Sol, Biodiversité & Paysage Chambre d’Agriculture de Seine-et-Marne 418 rue Aristide Briand 77350 Le Mée sur Seine Tél. 01 64 79 30 75 e-mail : loussot.philippe@wanadoo.fr

:coucou!: sur le site de l'IFP: http://e-recrutement.ifp.fr/psc/ERECRUIT/E...R_VIEW_JOBS.GBL Intitulé du poste TECHNICIEN EN SEDIMENTOLOGIE Type de contrat CDI : Contrat à durée indéterminée Société Institut Français du Pétrole Site Rueil-Malmaison : 92 - Hauts de Seine Direction GEOLOGIE GEOCHIMIE GEOPHYSIQUE Missions principales Assister les ingénieurs de recherche dans les études sédimentologique/stratigraphique de bassin et de réservoir et dans la partie interprétation des données Manipulation d'un logiciel de bases de données/Géomodeleur (reconstruction 4D) et de bases de données de subsurface (puits, carottes, sismique) et de terrain (panorama photos, coupes). Missions de terrain et de description de carottes, Préparation/archivage des échantillons Formation Technicien Géologue Compétences techniques Connaissances de base en géologie sédimentaire, sismique, forage, description de carottes et diagraphie Expérience en géologie de terrain, Maîtrise de l'outil informatique. Aptitudes Rigueur, méthode, organisation, Capacité à effectuer des tâches variées, Dynamisme et autonomie, Goût pour l'expérimentation, Esprit d'équipe

pour les professionnels demande peut etre a l'association francaise pour les pompes a chaleurs: http://www.afpac.org/index.php ou l'ADEME: http://www.ademe.fr/particuliers/Fiches/pacg/index.htm

Quizz, keske c'est:

Bonjour, je vais tenter de te répondre. Apres analyse du document fourni, les auteurs du livre semble decrire la presence de nappe captive au sein me semble t'il de la formation comprise entre 19 et 48 m de ton log. En effet page 353 ils disent que "les trous de sondes ont traversé le groupe des argiles plastiques complet, c'est a dire avec leur sables ligniteux...etc..." Ceci semble donc etre la correspondance de la formation Yprésienne du log entre 19 et 48m. Ensuite, les auteurs expliquent que d'habitude cette formation géologique a fourni des eaux ascendantes (ce qu'on appelle des eaux sous pression appellée artésiennes provennant d'une nappe captive, pour cela regarde l'explication sur le net). Mais ou ton terrain et ton sondage existe, il semble que ce phenomene d'eaux jaillissantes n'existe pas, ceci etant lié a la structure particuliaire de l'aquifere a cet endroit. Donc en gros chez toi, pas d'eaux jallissante issus de cette formation géologique. PAR CONTRE, ceci n'est pas forcement problematique vis a vis de ta pompe. En effet, les terrains entre 0 et 8 m, constitué de sable argileux a galets, me semble etre aquifere c'est a dire permettant de stocker de l'eau et de la restitué, si les sables et graviers sont abondant le debit devrais etre bon. Meme la couche de calcaire entre 8 et 19m dois etre egalement aquifere. MAIS ATTENTION VA VOIR UN PROFESSIONNEL ET FAIT UNE ETUDE, on ne peut traiter ton probleme en ne connaissant pas le terrain, de maniere generale, surtout que perso je n'y connais rien en pompe a chaleur. J'essayais juste de t'expliquer le log et le passage du livre.

Bonjour, ce sujet et passionnant et pour rejoindre Géomorpho, j'ai un collègue qui m'as dis que certaines personnes font n'importe quoi. Il etait present a un colloque sur les phenomene extreme en inondations et une personne montrait un graphique montrant le rechauffement climatique, le hic c'est qu'une partie de sa courbe se base sur des etudes dendrochronologique ou la precision doit etre de l'ordre du degré (je ne suis pas expert) et continuait avec des données historique issus de thermometres anciens precision meilleures finissant par les 30 dernieres années avec les thermometres precis. Ainsi on compare des choux et des cerises. On dis qu'il y a qugmentation de 0.5 °c depuis imaginons 50 ans, mais la aussi la precision des mesures augmentent donc c'est normal de voir cette augmentation, personne ne mesurait cette precision il y a 2 siecles. De plus en statistique il faut des mesures sur au moins 30 ans minimum pour tirer de conclusion, ces mesures divent avoir ete faite dans les memes conditions avec le meme lecteurs et le meme instrument, c'est impossible. Je suis scientifique mais cher amis, ouvrons les yeux lorsque l'on voit le bricolage effetué tout cela me fait rire et la sceince est un beau mot mais me fais de plus en plus rire. J'ai un ami meteorologue qui m'a dis avoir lu dans un papier que une part relativement importantes des mesures de temperatures sont biaisées, logiquement on ne devrais pas faire de stat dessus et pourtant tout le monde le fait sinon c'est la fin de cette discipline, de la carriere des metéorologues, la fin des credits et tout le toutim.

Tout a fais d'accord, c'est egalement mon avis de géologue. En effet, on constate une hausse des temperatures au niveau global, mais quels est la part anthropique de la part naturelle. Je ne peux croire que le Co2 qui represente 0.03 % de l'air qu'on respire responsable de tout le rechauffement. En plus dans ces 0.03% quelles est la part anthropique, probablement minime. Certes il ya rechauffement, mais on a du mal a savoir pourquoi, quel est le facteur, entre les differents gaz comme H2O en premier, methane, etc... Quels est l'apport des volcans, des gaz issus de l'activité biologique, du methane issu des oceans. ert puis il ya n'oublions pas les sursaut energetiques du soleil... Je reste optimiste, et plus que septique sur l'origine anthropique du rechauffement, je pense que l'homme se voit responsable car il est egocentrique.

je suis de plus en plus convaincu de mon hypothese, en effet regarder sur se site dedié au Khettaras au Maroc ou Qanats en Syrie, l'image en haut a droite nous presente bien des troués aisi que des traces de pneus aproximité rapellant la photos de notre ami haqal. http://www.qanat.info/en/introduction.php qu'en pensez vous?

Bonjour a tous, en ce qui concerne l'hypothese de rampes de missiles, vous me sembler un peu trop parano...lol imaginez le nombres de missiles, :coucou!: Plus serieusement, cela me fait penser a une series de puits effectueés probablement a la mains depuis plusieurs generations par les autochtones, on distingue de tres grands allignements , certains relativements attenués par l'erosion montrant leur ages avancé. Pour moi cela ressemble a un systeme de puits espacés, effectués pour faire des galeries sousterraines. Ce systeme anciens des arabes appelés Khettaras au Maroc et Kanawats en Syrie. Ce systeme sert a collecter l'eau e la nappe pour la diriger ensuite vers un point voulu pour irriguer. http://www.l-eau-du-desert.com/fr/khettara.htm http://lettres.univ-oujda.ac.ma/benbrahim/...duTafilalet.pdf J'ai eu la chance d'observer cette techniques a Marrakech, ou malheureusement les puits successifs servent actuellement de depotoir, polluant aisi la nappe alluviale du Haouz. Ce que je n'explique pas c'est que sur la photos il y en ai un bon nombres disposés en quiconces .

bonjour, pas compris la question... peux tu la reformuler?

Exact, voici la réponse: ce sont des faisceaux contournés (slump) dans marno-calcaire de l'Hauterivien situé dans la Vallée de la Bléone visible de la D107 entre Blégiers et les Hautes combes dans les Alpes de Hautes Provence.

salut, petit quizz, keskecé? :coucou!: