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Ronzotherium on the beach ☀️ Rupélien (Provence)

Bonjour Visite des carrières gallo-romaines de Pédégas, Belbèze-en-Comminges ce dimanche avant l’orage. Au niveau d’une des nombreuses entrées on distingue dans la paroi à une hauteur d’environ 2,50m un petit surplomb (niche?) rempli de pierres noirâtres apparemment de forme biconvexe. Comment l’interpréter ? Une datation est-elle possible?

Merci Icarealcyon pour ces précisions. Doit-on s'attendre à trouver autre chose que ces terriers dans ce calcaire (Thanétien?) Cela vaut-il la peine de creuser le sol de la photo 2 ?

Une idée de l’animal qui a pu laisser ces traces ? Un vers marin ?

Si l’un de vous est intéressé de déterminer leur composition, je peux les lui envoyer.

Localisation du site sur la carte au 1/50000e

À proximité des anciennes carrières souterraines de Pédégas de Belbèze en Comminges, Ariège (calcaire gréseux du Thanetien ? calcaire Ilerdien de Mancioux d’après la carte 1/50000?) Sur un bloc deux structures pour lesquelles je sollicite vos avis.

Très ntéressant comme étude. A quelle espèce appartiennent les bélemnites fluorescentes de la Tuillière ?

Bonsoir Acer, j’ai refait les mesures - sur 10 pesées j’obtiens une moyenne de 202,6 gr - estimation du poids d’eau déplacé 100gr et non pas 55 gr (!?) - estimation du volume de la sphère à pâtir de la circonférence (en croisant deux mesures à angles droits = 18 cm) soit un volume de 98,56 cm3. On est alors bien voisin des 2 gr/cm3 ce qui est plus cohérent avec la nature calcaire de l’objet.

On s’aperçoit qu’il y a quand pas mal de rapports ou documents du BRGM qui ne sont pas publiés ou je me trompe ? La bibli de l’école des Mines (Paris) a peut-être quelques références intéressantes? Prise de contact avec la mairie prévue…

Sinon sur le même site de la Tuillière que les belemnites j’ai ramassé ces 3 fragments de je ne sais quoi. Si vous avez des idées quant à leur origine… (la barre 1 cm et absence de fluorescence aux UV 395nm)

Le seul plan (daté de 1874) que j’ai pu trouver (cité par Pierre Simoni dans « L’industrie dans le canton d’Apt au XIXème siècle », 1992. ISBN : 2-9502875-1-4). Et encore ce n’est que le champ d’exploitation à partir du puits St-Antoine (y a aussi eu un puits Ste-Antoinette) avec la connection avec le travers-banc la galerie Toussaint. Si vous trouvez d’autres plans je suis intéressé.

Pas mal d’infos effectivement 👍 - pas de plan détaillé de la mine ? des galeries ? - l’eau ne doit quand même n’être pas très loin même si le terrain est en pente. La rivière du Calavon borde le côté sud et le soufre avait été découvert lors du creusement d’un puits par un paysan du hameau des Tapets. - une partie de la zone a des restrictions au niveau permis de construire. Le sous-sol à certains endroits doit être un vrai gruyère. (photos: la carte avec le Calavon et un des puits bouché par des gravats tout comme les autres))

Oui piezométrie c’est probable, mais pourquoi 3 antennes?

Quelles techniques utiliser ?

Bonjour, Silex ramassé au bord du chemin ce week-end en Provence, notion de néolithique et paléolithique dans le secteur. Qu’en pensez vous ? Nucleus ? Merci pour vos avis. La barre = 5 cm

Oui merci pour le lien, je connais cette vidéo de Julia Cabanès qui présente son travail de thèse sur les bolas. Je lui avais demandé son avis l’année dernière, mais sans contexte archéologique précis (site, objets accompagnants…) elle ne pouvait se prononcer, la balle ne lui semblait pas préhistorique. Mais avoir plusieurs avis est toujours intéressant. Est-il possible de caractériser les traces noires et d’en déterminer l’origine ? c’est la question.

Il s’agit de la mine de soufre des Tapets, Apt. Période d’activité de vers 1870 à 1955-57. Quels types d’information peut-on collecter 70 ans après la cessation d’activité ? Niveau d’eau dans certains puits ? Concentration en gaz ? si oui lesquels ? Déformation des galeries ? Pourquoi 3 antennes ? Y a-t il d’autres exemples connus dans le Sud-Est ?

Zoom sur les traces noires

Oui pourquoi pas un ricochet après avoir tapé sur un animal mais quelle devra avoir été la vitesse initiale de la balle pour qu’après avoir tapé sur du mou elle ricoche et qu’en fin de course il reste une énergie suffisante pour abîmer la balle ? 55 gr d’eau déplacée ce qui ferait une masse volumique d’à peu près 205:55 = 3,72 gr/cm3

Vu sous des angles différents…

Merci Acer pour ta réponse. Si l’on retient l’hypothèse d’une balle de fronde, comment expliquer que seule une petite partie de la surface soit abîmée ? L’hypothèse organique pour les traces noirâtres est très intéressante mais un choc contre un animal vivant aurait-il pu causer cette usure de la balle ? Certains ont pu montrer (en Israel de mémoire) que certaines balles retrouvées dans des grottes étaient utilisées pour casser des os longs de bêtes pour y récupérer la moelle osseuse très protéinée

Bonjour, A l’emplacement d’un ancien puit de mine de soufre on trouve cette installation. Si on devine une possible cheminée d’aération, la présence d’une cabane construite récemment (l’activité de la mine a cessé vers 1955-57) hérissée d’antennes pose question. Ces antennes ne ressemblent pas à des relais 5G. - à quoi sert-il d’aérer les galeries d’une ancienne mine de soufre ? - qu’y a t il sous le couvercle métallique de la cheminée d’aération ? - à quoi servent ces antennes ? Surveillance à distance de la mine ? Autre ? Merci pour vos réponses.

Bonjour, Sur un sol burdigalien du Lubéron. Érosion naturelle ou traces de pas ? Qu’en pensez-vous ?

Pour les marnes de la Tuillière le ramassage est autorisé La sirène de Manosque visible au musée de la géologie du parc du Lubéron à Apt. Il doit y en avoir d’autres…