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otto lidenbrock

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Messages posté(e)s par otto lidenbrock

  1. Sauf dans certaines collections ............ :coucou!:

    Enfin je confirme : le facies de la galène et l'association avec le quartz peuvent faire penser à Pontgibaud.

    Mais rien n'est sur à 100%. De quoi est faite la gangue derrière ?

    @+

    Alain

    AlainT a raison c'est du Pontgibaud, et même sans doute, du Pranal (aspect cubo-octaèdrique des cristaux avec le quartz, typique)

    La "caisse de collection" est probablement un caisse Fouihloux ou Demarty (Demarty > Fouilhoux), dans tous les cas de figure je crois qu'elle a été éditée à Clermont.

    OL

  2. theo,

    l'analyse faite en France, plus ou moins sur place, à l'époque, est donnée aussi par notre brave curé.

    l'or contient un pourcentage notoire d'argent. il ne s'agit donc pas d'un lingot formé uniquement d'or alluvionnaire, mais aussi d'or "minier" (cf. les articles d'Eluere sur les "premiers ors").

    le lingot serait donc plutôt médiéval ou plus récent, plus que préhistorique.

    on pourrait même imaginer un inventeur / fondeur...

    bises,

  3. bonjours a tous

    ma petite contribution echangée il y a bien longtemps

    bournonite maclée (la mure 38)

    (cristal principal=1cm)

    Double macle ? macle en "escalier" de la bournonite (les angles rentrant sur l'arête), manquée par les premiers minéralogistes dont Dufrenoy, et macle "en papillon" des deux individus, que j'ai peut-être déjà vue sur d'autres sps, et qui nécessite vérification.

    bises,

  4. Otto pourrait peut-être nous donner des précisions ?

    Alain, il s'agit sans aucun doute d'un lingot

    - par sa forme

    - par sa fissure

    - par son lieu de découverte, loin au dessus du Chassezac

    - par l'absence d'autre or contigu, et par la présence d'autres petits lingots à divers endroits, loin du Chassezac

    - par le fait que Lacroix, assistant de DesCloizeaux avait recommandé de ne pas l'acheter au Muséum

    Il faut lire d'autres détails historiques in M&F, 1983, 100, p11-2

    amitiés,

    otto

    PS, un extrait de la lettre du curé des Avols, précisant que l'or du Chassezac n'existe qu'en aval du barrage EDF.

    post-2334-1258067497_thumb.jpg

  5. On est vraiment sur un système d'appréciation qui me chagrine.

    post-6177-1257412354_thumb.jpg

    Même si cette photo est de mauvaise qualité, on est sur un système de croissance parallèle. Pas d'âme, et une certaine vrille... Sauf que de mémoire, le Gwindel couché sur gangue n'est pas viable (ne me demandez pas de citer ma source, j'ai tellement fait de recherches, que je ne sais plus ou j'ai pu lire ça, sans doute un site anglophone). Bon, on peut toujours imaginer que lors d'un mouvement de la faille, il est "tombé", et qu'il a continué à cristalliser suite à l'apport de fluide, et que désormais, il fait partie intégrante de la gangue.

    Attention, ce qui va suivre est écrit par un novice, ce n'est donc en rien une théorie viable, mais bien une pensée réfléchie basée sur des indices visuels

    Pour en revenir à notre interprétation, j'ai pu constater qu'un bon vieux Gwindel a une torsion régulière, alors que les quartz à croissance parallèle n'ont une torsion que par plan (s'ils en ont une...). Un petit détail qui peut nous permettre de mieux classifier les Gwindels.

    De ce point de vue la, cela nous donne :

    Gwindel trapu (plus large que haut, assez épais)

    Gwindel fin (plus haut que large, assez fin)

    Gwindel semi fermé (plus large que haut, pointes sur un seul côté)

    Gwindel simple (plus large que haut, une seule pointe de chaque côté... Attention à ne pas confondre avec un quartz vrillé... futur quartz à croissance parallèle?)

    Sucre trapu (carré)

    Sucre fin (sucre très allongé)

    Quartz à croissance parallèle (... pas ou peu de vrille s'il n'y a qu'un seul plan, ou vrille par plan)

    Pour continuer sur quelques explications, et plus particulièrement les vrilles, il est important de signaler un détail : la face X. Je cite : "Dans les gwindels, " le sens de la rotation est lié à celui du plan de polarisation de la lumière " Weiss (1836) en déduit que la rotation découle d'une propriété du cristal.". On a mieux. Il suffit d'observer la face X du Gwindel qui se trouve obligatoirement en haut à droite ou en haut à gauche. A partir de la, sans prendre le moindre risque, vous saurez dans quel sens tourne le Gwindel. Si la face X est en haut à gauche, alors le Gwindel tournera dans le sens d'une aiguille d'une montre. Pour une face X à gauche, on constatera en prenant la croissance des quartz qu'il s'agit d'un quartz Droit. On peut donc en conclure que la face X est une propriété moléculaire du quartz de base, et que c'est elle qui donnera le sens de la vrille (donc, polarité du four qui entraine la vrille d'un Gwindel, sans doute à oublier...).

    La croissance : on peut s'étonner de la croissance des Gwindels. Même s'il est convenu que cette croissance est plus lente, certains indices sont assez étranges. Les sucres sont rarement cassés (entendez par la une fracture), tout comme le haut des Gwindels. Les inclusions de chlorite retrouvées signalent également qu'elles sont situées à la même profondeur dans un quartz que dans un Gwindel : la cristallisation finale semble donc être de même durée. La taille de certains Gwindels laissent aussi à penser par rapport à ses congénaires quartz, que la croissance ne fut pas si lente que ça (en ce qui me concerne, j'ai un rapport 1 sur 2 pour le plus grand Gwindel par rapport au plus grand quartz, ce rapport peut même diminuer dans les parties de faille très exigües). Par la rareté des découvertes, on peut à la rigueur imaginer que le sucre pousse à la même vitesse qu'un quartz, que sa transformation par "sceptre" à 90° est très lente (c'est souvent la partie du Gwindel la plus cassée), puis que la croissance parallèlisée est de nouveau normale ou du moins à peine plus lente.

    La vrille du Gwindel existe déjà sur le Sucre, autant dire que le Gwindel ne fait que reproduire le schéma rotatif du Sucre. La piézolélectricité, souvent citée comme exemple dans la torsion du Gwindel, semble assez désuette (loi du rasoir d'Okham, l'explication la plus simple est souvent la meilleure :super: ). Dès lors, quid des quartz à croissance parallèle? Si mes souvenirs sont bons, tous les quartz macromozaïques subissent une torsion très légère voire invisible... (et toujours par rapport à la face X) : de ce fait, si on constate que le quartz vrille par plan, on peut imaginer que ce n'est pas un Gwindel, car non issu d'un Sucre. Sa vrille par plan étant tout simplement une reproduction de la vrille du quartz macromosaïque. Le quartz en croissance parallèle grandira aussi vite qu'un quartz classique.

    Ouf!!

    N'hésitez pas à me contredire, à rectifier mes erreurs, même sèchement : rien de tel pour moi de remettre en cause mes théories (souvent absurdes) par un travail d'équipe, je progresse d'autant plus vite B)

    PS : j'adore les quartz!

    A la demande de Greg, quelques commentaires :

    1/ pour le sp. en photo il s'agit bien sur d'un gwindel ou quartz tourné en français.

    2/ le gwindel est comme un "sceptre" sur le sucre

    3/ une synthèse a paru il y a 2 ou 3 ans dans le bull. du club de cham

    4/ ni la piezo ni la pyroélectricité (elle n'existe pas pour le quartz !) ne sont en jeu dans l'origine du sucre.

    otto

  6. merci mon cher. :sourire:

    je précise juste qu'historiquement les "vraies" crichtonites étaient assez communes au Plan du Lac. Je me souviens d'un tiroir entier du Muséum de Paris avec des échantillons historiques. Mais visiblement, les coins des anciens n'étaient pas les mêmes que ceux que l'on gratte actuellement (notamment ancienne route) car de telles abondances de crichtonite n'ont à ma connaissance jamais été retrouvés. Peut-être s'agissait-il d'une fissure particulièrement riche ou d'un micro secteur oublié depuis... Il sera difficile de le dire maintenant en ts cas !

    greg la veine

    c'est de l'ilménite > cela se voit aux arrêtes. Elles ont svt une petite face qui les rend + acérées sur l'arrête (net sur la première photo).

    On note aussi svt leur présence avec rutile et justement les petits encroutements blanchâtres à passer au chlorhydrique peuvent contenir de minuscules cristaux de xénotime

    greg la veine

    Grégoire,

    je pense que tu n'es pas dans le vrai.

    - Pour le spécimen de Jack, il s'agit bien sur d'hématite, qui est grise, et montre des arêtes lisses et souvent avec des facettes arrondies ; l'ilménite du plan du lac est noire, réellement noire et montre toujours des arêtes en dent de scie, comme cassées. le seul déterminant facile est le trait sur la porcelaine : rouge pour l'hématite, noir pour l'ilménite

    - la crichtonite est un minéral très rare au plan du lac, dont c'est la localité type (le nom est une traduction de Craitonite et n'a pas de lien avec christophe!) ; il forme des rhomboèdres aigus, dans une paragénèse typique, avec quartz "intermédiaire", anatase et chlorite. je ne connais que très peu de spécimens ; les spécimens étiquetés "crichtonite" dans les musées parisiens (et en vitrine) sont des ilménites

    - l'ilménite est relativement commune, avec les caractéristiques cités plus haut ; elle contient des traces de Sr! L'hématite est infiniment plus commune au plan du lac.

    - la craitonite, de lord craiton est décrite en Cornwall, c'est théoriquement une ilménite, de fait cela ressemble plutôt à une hématite.

    - la crichtonite peut être un peu radioactive, et de fait un spécimen vérifié de La Tourra est associé au quartz fumé

    - les "crichtonites" des grandes rousses sont des hématites après vérification

    - la mohsite de Muretouse est maintenant la Gramacciolite, l'habitus est typique ; je ne comprends pas pourquoi on a fait disparaître le beau nom de Mohsite !

    - Sarp a décrit le premier minéral riche en rhénium sur un spécimen typique du plan du lac (sans étiquette) > c'était une erreur, du à la chimie faite à la machine > la réétude du spécimen donne Gramacciolite > il faudrait reprendre l'ensemble des spécimens du plan du lac, quoique Stalder les a déjà repris mais pour lui c'était de la crichtonite > j'observe que comme les spécimens de crichtonite du plan du lac sont quasiment introuvables, je ne sais pas où tous ces savants ont déniché un échantillon fiable !

    - enfin les octaèdres aigus ne sont quasiment pas connus ailleurs, ni à la lauzière, ni en suisse… lien avec la chimie??

    bises,

  7. *

    re :sourire: !

    Hum, ceal a été un peu/bcp discuté dans un autre sujet, il y a tjs, surtout en France un pb de rapport à l'argent, hérité de notre culture judéo-chrestienne-catho, qui "brouille" les reflections sur ce point.

    On dénie souvent, voire systématiquement le droit aux collectionneurs "riches" d'être avant tout et surtout passionné par leurs collections, leurs objets...

    Je vais aborder le pb différamment, histoire de changer un peu.

    Collectionner est une maladie.

    C'est un "pb" de santé mentale...

    La phénomère de la collection, des collectionneurs a et est trés étudié par les psy...

    Pas mal de chose à lire sur ce sujet, facilement accessible et lisable : LES COLLECTIONNEURS, APPROCHE PSYCHANALYTIQUE.

    Y'a de la pub sur cette page, mais le texte est très bien :super:.

    Texte très intéressant parce qu'on y aborde un peu la collection de minéraux.

    En l'occurence :

    Qui parle ?

    Claude Guillemin, "Perspectives Scientifiques", France Culture, le 18.1.92.

    Claude Guillemin, qui a tjs travaillé pour l'Etat, à fini aux plus hautes-fonctions de l'Etat possible dans son domaine, Inspecteur général des mines, conservateur de la collection de l'Ecole des Mines, boss du BRGM, la rue où est le brgm à Orléan porte son nom...

    Et bien, Claude Guillemin était aussi un collectionneur "pathologique", qui pourtant se défendait du contraire, de par ses fonctions et son milieu...

    Bref, la collection, c'est avant tout un feu intérieur, quelque chose qui vous pousse malgré vous, que vous soyez "pauvre" ou "riche", c'est pareil !

    Dans les collectionnites purement pathologie, vous pouvez avoir des milliardaires collectionneurs de rien, boîte de camembert, ou autre :-).

    Voilà, rapidement, Théo'.

    Nérée Boubée svp, pas Boubet, un des trois grands marchands naturalistes parisien du début du XXéme siècle ( avec Deyrolles, et Alexandre Stuer)

    Fred tu sembles confondre le concept psychanalytique de "trait de caractère" et celui de "pathologique" ; je te rappelle que la caractéristique de la maladie mentale est le "délire"…

    Les collectionneurs sont des grands obsessionnels ; guillemin n'y échappait pas et n'aimait pas les concurrents. le noyau de ses supers spécimens (aujourd'hui aux mines) provenait de l'évaporation de la coll. de Vésignié !

    bises

  8. Coucou, c'est le père de ton Leschevin, lui née en 1771, donc pas de correspondance dans les années 1780 avec Ducros.

    C'est Louis François LESCHEVIN de PRÉVOISIN, Premier commis de la Maison du Roi (1730-1783) ou Charles Louis LESCHEVIN (1759-....), Contrôleur général de la Maison de Monsieur, frère du Roy, en survivance.

    A voir ;-).

    C'est Louis François LESCHEVIN de PRÉVOISIN, Premier commis de la Maison du Roi (1730-1783)

    le catalogue manuscrit de sa collection a été rédigé par Romé de l’Isle.

    bises,

  9. Les améthystes du Beaufortain sont intéressantes car elles se décolorent, pour la plupart, très rapidement et même conservées dans le noir ; ce n'est pas le cas de celles du bassin d'Argentière dont la couleur tient sans problème.

    A Tucson cette année, dans le cadre des oddities, il y avait une vitrine d'un institut minéralogique américain qui rappelait la théorie classique de la couleur de l'améthyste, en ajoutant malicieusement que les auteurs de la vitrine n'avaient pas pu scientifiquement arriver aux mêmes conclusions… peut-être utilisaient-ils une améthyste beaufortain-like ??

    On pourrait imaginer que le violet de l'améthyste aurait plusieurs origines physiques ?

    bises,

  10. Theo,

    comme tu le sais autant que moi (et de manière récente) la mine de houille a donné à la cote -475m (à vérifier) d'excellents cristaux de blende marmatite (15mm), avec pyrite, implantés sur calcite et sidérite blonde massive.

    pourquoi pas de la stibine comme dans des fissures recoupant le carbonifère de sainte marie du fouilly à Servoz ?

    bises,

  11. Les sources étant variées et variables, voici un extrait du Mineralogical Record qui dit autre chose ... Mais alors, qui doit-on croire ??

    PS : c'est pour taquiner, je suis intimement persuadé que cela ne changera pas la face du monde, pas vous ? :chut:;)

    Alpine Quartz Gwindels

    Thomas P Moore

    Mineralogical Record

    Feb 28, 2007 19:00 EST

    "... [ ] Specimens showing the cherished closed gwindels have been found in this area (Argentière, Taièfre and Leschaux ), and a few gwindels found near the peak called les Courtes show something never before seen on gwindels from anywhere: amethystine overgrowths (Gautron, 1999b). Very rare, too, and highly prized, are gwindels showing central white faden lines [ ] ..."

    l'article du record n'est qu'un (mauvais) article de compilation ; son auteur mélange les fadens ou âmes, qui sont le produit d' un processus d'oscillation,

    avec la zone claire de certains gwindels, qui correspond au germe de l'individu ; ce germe possède une composition différente de l'enveloppe, et donc "prend" différemment l'irradiation ; j'ai été le premier à signaler ce phénomène il y a bien longtemps…

    bises

  12. le terme de "quartz-carbon" a été créé en suisse, sous l'impulsion de Stalder de Berne, à travers une thèse non publiée, pour les quartz riches en inclusions grises, parfois fantômes, développés dans les fissures du carbonifère, tout spécialement à Tête Noire en Valais, non loin de la frontière. Ces inclusions grises sont à priori des particules schisteuses, le terme de carbon est lié au nom de l'étage en langue allemande. exit le graphite...

    Par extension, ces quartz à inclusions de schistes, sans préjuger de leurs contextes géologiques, sont peu communs actuellement en France : vallée de l'Arvan, Oulles, saint andré d'embrun... Il y a de nombreuses localités potentielles.

    D'énormes spécimens (une tonne avec la gangue) de ce type ont été découverts ces dernières années par les cristalliers suisses du Val Val (le plus gros était récemment exposé au MHNGenève)

    Ceux de Tête Noire sont souvent à âme (parmi les plus beaux des Apes) ; le Val Val a donné deux macles de La Gardette.

    Bien sûr, ils sont à ranger dans les quartz lamellaires...

    bises,

  13. j'dirai comme orlean : doute tjrs pour la seconde photo.

    Pour la première, la troisième et la quatrième, a priori ce serait bien des sphènes. Mine de rien, ils ne sont pas si rares dans le Massif. Il est cependant possible (quatrième photo notamment) que d'autre minéraux type monazite voire xenotime ou autre puissent se glisser dans la pièces. Mais sans la voir dans la main, cela me paraît difficile de déterminer avec certitude

    Pour les adulaires : bien sûr que des fissures ne présentent pas de "peigne" du tout. cela ne me paraît pas être un critère pour distinguer une espèce par rapport à l'autre...

    greg

    Sensu stricto, il n'y a pas de "peignes" d'adulaire mais des adulaires en groupement "âme" ou "faden" en suisse-allemand.

    les faden d'adulaires sont communs (au plan du lac) : les faden de sphène aussi, mais plutôt au pakistan. des fissures de tarentaise ont donné en 2008 des petits faden de sphène d'une couleur grise inhabituelle, >15mm (vérifiés)

    bises,

  14. Pyrite sans aucun doute ; il semble exister deux petits tétraèdres qui sont de la tétraèdrite, assez commune dans le gîte.

    Les sphères verdâtres sont de la sidérite, variété (de collectionneur) "sphérosidérite" ; Laguépie en représente un des meilleurs gîtes connus dans le monde.

    bises,

    Pour evelyne : la cuprite est tout à fait possible, je n'en ai encore jamais vu à L.

  15. Salut tout le monde,

    pour faire plaisir à nos amis bretons (Breiz atao, et pourquoi le H de bzh ? :clin-oeil: )

    une petite pièce de Plélauff, 5 kg et des poussières (facile avec de la galène)

    post-3761-1236595706_thumb.jpg

    je nai aucune info sur l'histoire de cette pièce, c'est pour ça qu'elle n'est pas dans le post des pièces historiques.

    à+

    Gadin

    Cette galène me paraît être un échantillon typique (et de belle qualité) de la mine de Trêves ?

    bises,

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