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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

MakeLoveNotWar

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Tout ce qui a été posté par MakeLoveNotWar

  1. Le débat est lancé, mais avec mes faibles connaissances, je préfère rester neutre : Néanmoins, s'il faut de meilleures photos, y compris au microscope, n'hésitez pas à me le faire savoir : mon seul problème sera d'en trouver le temps ! Merci pour toutes vos suggestions...
  2. Bonjour, Je vous fais entièrement confiance pour l'identification, mes notions de paléontologie datant de très longtemps. Il est effectivement très probable que la matière soit de la séricite quoique certains reflets soient franchement métalliques. Merci pour votre aide. Yves
  3. Bonjour, Ayant enfin eu un peu de temps, j'ai modifié l'enfoncement de la tourelle d'adaptation pour obtenir un point correct en même temps avec l'oculaire et avec l'APN. Ce la marche nettement mieux ! Mille mercis à TOM pour l'astuce du réglage "tungstène", qui améliore effectivement les couleurs. Ci-dessous 2 photos d'une autre anatase du massif de la Grande Lauzière. A noter que le quartz de ce massif est naturellement brun, donc sa couleur ne vient pas de la prise de vue :
  4. Tous mes remerciements !
  5. Bonjour, Des "grains jaunes" peuvent être de la pyrite, aussi appelée à juste titre "or des fous"... S'il s'agît bien de sable (meuble) et non de grès (induré) contenant de l'or natif (paillettes...), les méthodes classiques par gravitation (batée, sluice...) permettent de faire le plus gros du travail en extrayant les minéraux lourds ("le plus gros" sous toutes réserves car il peut parfois y avoir une très forte proportion de minéraux lourds autres que l'or), avant séchage du résultat. Un aimant permet ensuite de séparer les minéraux magnétiques. S'il s'agît d'extraire les paillettes d'or telles quelles (par exemple pour la collection), il est utile de tamiser le reliquat sur une colonne de tamis (pour un classement granulométrique) avant d'éventuellement repasser chaque classe à la batée, puis d'extraire manuellement chaque paillette. A noter que les parties très fines peuvent être traitées par soufflage sur une assiette, mais cela demande un certain savoir-faire (et du souffle !). Il est aussi possible de passer par une séparation gravimétriques par liqueurs denses, mais celles-ci sont en général toxiques et délicates à employer. Si c'est uniquement pour extraire l'or dans le but d'en faire des lingots, une fusion des minéraux restant après la séparation magnétique peut suffire pour obtenir un culot d'or non raffiné. Pour faire mieux, il faudrait passer par une fusion plombeuse suivie d'une coupellation, mais cela demande un certain matériel (fours, creusets en céramique pour la fusion et en magnésite pour la coupellation...).
  6. Bonjour, On m'a jadis fait cadeau d'un petit poisson du Wyoming (sans autre précision), certainement très classique pour les connaisseurs ! Quelqu'un aurait-il l'amabilité de préciser son identité et son étage ?
  7. Bonjour, Voici une pièce (empreinte et contre-empreinte) du Carbonifère situé à la limite entre Alpe d'Huez et Clavans en Haut Oisans, montrant des fougères pyritisées, certes, mais lesquelles ? On notera au moins 2 espèces à pennules alternées (Neuropteris sp. ?) :
  8. Bonjour, En orpaillant dans la Ganière (au Sud des Vans), on se trouve sur un conglomérat à éléments de quartz, avec parfois des passées de grès fin susceptibles de contenir des traces de flore, ici : https://maps.google.com/maps?q=Les+Vans,+07,+France&hl=fr&ie=UTF8&ll=44.346072,4.101237&spn=0.005762,0.009602&sll=37.0625,-95.677068&sspn=51.754532,78.662109&oq=les+vans,+07&t=h&hnear=Les+Vans,+Ard%C3%A8che,+Rh%C3%B4ne-Alpes,+France&z=17 J'y ai trouvé quelques fougères, dont j'aimerai pouvoir préciser les étiquettes : Première : Deuxième : Troisième : Des idées ?
  9. Le troisième : Merci par avance pour vos suggestions...
  10. Le troisième (suite) : Le quatrième : 3 bivalves en vue d'ensemble : De gauche à droite, le premier (Pholadomya sp. cf. ???) : Le deuxième :
  11. Bonjour, L'hauterivien supérieur des préalpes calcaires renferme une faune abondante d'oursins (Toxaster amplus principalement) et autres fossiles. Au pied de la falaise terminale de la Dent de Crolles (qui, rappelons-le, est suffisemment "cariée" pour pouvoir être traversée de part en part par les spéléos), on retrouve ces couches classiques de "marnes à miches", alternant les bancs indurés et les marnes sableuses, où, par endroit, les oursins abondent tellement qu'ils sont parfois les uns sur les autres. D'une part, je suis un peu surpris des différences de taille entre ces oursins, a priori de la même espèce (est-ce une simple répartition statistique de l'espèce, comme le nombre de petits pois dans chaque cosse, chers à une de mes prof de SVT du collège ? Une répartition par âge ?), d'autre part j'aimerai une détermination, même partielle, des quelques bivalves qu'on peut y trouver (tout en sachant bien que c'est très difficile sur des moules internes), si un spécialiste passe par ici... 4 oursins en vue d'nsemble, permettant de constater les différences de taille : De gauche à droite, le premier : Le deuxième : Le troisième : [
  12. Y'a pas mort d'homme !
  13. Elasmo, Comme je l'ai écrit plus, on m'a offert cette pièce : je n'en connaît donc pas le prix exact, sinon qu'il était "modique", et que c'était vendu comme "moulage". Il est donc certain que ce n'est pas un original, mon problème étant de déterminer si c'est vraiment un moulage ou une "invention" typiquement chinoise (voir les scandales des dernières années concernant la publication de certaines nouvelles espèces qui n'étaient que des artefacts), et accessoirement d'en contrôler la nature de la bestiole...
  14. Salut Jnoun, Mosasaurus Beaugei (Arambourg, 1952) semble bien correspondre, avec son aspect anguleux marqué : http://trifoss.com/product_info_sold.php?language=en&products_id=4556 De même pour Prognathodon sp. (Dollo, 1889), dont les angles sont nettement moins visibles : http://phanerozoic.over-blog.com/article-tres-grande-prognathodon-anceps-du-maastrichtien-du-maroc-78140303.html Comme quoi il est bon de faire préciser les dires des commerçants auprès de vrais spécialistes ! Tous mes remerciements...
  15. Effectivement, Cymatoceras elegans (Sowerby, 1916) semble bien correspondre aussi bien du point de vue de l'ornementation que de l'aspect général (spire et section), d'après les gravures et photos trouvées sur la toile. A noter la rapidité de la réponse : moins de 2 heures après le post initial !!! Mille mercis !
  16. Je suis certain qu'il ne s'agît pas d'un original par : - le vendeur qui a bien parlé d'un moulage, - le prix qui m'a été précisé modique, - le toucher, l'aspect et la densité (bien inférieure à celle de la diatomite) de la plaque, correspondant bien à une résine. Un Keichousaurus me convient bien, d'après les photos trouvées sur la toile. A noter que non seulement les moulages semblent abonder, mais on peut même en trouver le mode de fabrication : http://dinoman.xooit.com/t2341-Realisation-d-un-moulage-de-keichousaurus.htm Avec tous mes remerciements pour la rapidité et l'exhaustivité de la réponse.
  17. Bonjour, Profitant d'un déplacement professionnel dans les environs de Marseille (on devrait demander une prime de risque pour certains déplacements !), je suis allé faire quelques brasses dans la grande bleue, près d'Ensuès-la-Redonne. La plage où je me trouvais était bordée par des rochers bourrés de rudistes très difficilement récupérables. Par contre, parmi les galets de la plage, en plus des rudistes et coraux usés, il y avait aussi des cyclolites dont j'ai pu retrouver l'encaissant constitué d'une couche marno-sableuse plus facile à échantillonner. D'après la carte en ligne et un minuscule article sur le sujet découvert sur la toile, ce serait du Santonien. Quelqu'un saurait-il déterminer l'espèce ?
  18. Bonjour, Pour mon avant-dernier anniversaire (déjà 50 ans, eh oui !!!), ma belle-famille m'a offert ce "moulage d'un nautosore de Chine" (sic), sans autre précision. Sauf erreur de ma part, ces bébêtes avaient une taille telle qu'elles auraient eu du mal à tenir dans ma vitrine, d'où mes questions : - est-ce bien un moulage de Nothosaurus sp., ou une reconstitution "artistique" dont les Chinois sont passés maîtres ? - s'il s'agît bien d'un moulage, serait-ce un juvénile ? - et quel seraient son identité, son étage et sa provenance (c'est grand, la Chine !) ?
  19. Bonjour, Lors de ma jeunesse tumultueuse, j'ai effectué autrefois un stage en Tunisie, d'où j'ai ramené quelques oursins, a priori tous identiques. Ils proviennent du flanc Sud du Djebel Lorbeus, non loin de la ville du Kef, et ont été trouvés dans le faciès argileux Aleg (Cognacien-Santonien). Cette formation tendre a été profondément entaillée par l'érosion, et présente plusieurs couches de ces oursins dépassant de l'argile. Malgré cette abondance, il n'a pas été très facile d'en échantillonner en bon état, car la diagénèse et le remplissage tout aussi tendre que la gangue n'ont pas aidé à la conservation. Leur nettoyage tout aussi délicat a été simplement effectué avec une brossage doux sous un filet d'eau. Sont-ils identifiables malgré ces handicaps ? Oursin 1 : Oursin 2 : Oursin 3 :
  20. Bonjour, J'ai jadis trouvé ce nautile qui dépassait à peine des alluvions dans un ruisseau des environs de Pelleret (près de Séderon, Drôme). La butte drainée par ledit ruisseau est du Cénomanien, d'après la carte en ligne. Question : quel est son nom (et son prénom) ?
  21. Bonjour, Lors de la bourse aux minéraux et fossiles de Grenoble de ce week-end, ma douce moitié s'est offert 2 dents de mosasaure du Maroc, d'étages et d'aspects différents. Quelqu'un saurait-il identifier les espèces ? Première dent :
  22. Je confirme que ce modèle de tapis de sol est trop lisse. L'idéal est un tapis de voiture à fibres (ressemblant à des morceaux de moquette) comme on en trouve dans les hypermarchés. Il faudra que je trouve le temps de faire des photos, un jour...
  23. Non, non, RAS en ce moment chez mon client lyonnais, d'où du temps à tuer... Et ton déménagement, Monsieur le DGA ?
  24. Ayant bricolé un sluice il y a des années, je peux faire quelques remarques : - en disposant, en amont du sluice, un système permettant le débourbage ("long tom") avec une grille à trous de 5 mm, on peut éliminer les "gros" cailloux qui sont les plus dommageables à l'état de la moquette (on risque d'éliminer aussi les pépites de taille supérieure à 5 mm, mais elles sont peu fréquentes (je n'en ai jamais trouvé) et facilement visibles), - comme "moquette", j'utilise des tapis de sol de voiture qui, d'une part, sont très résistants à l'usure et, d'autre part, on des "poils" en rangées (disposées perpendiculairement au courant) récupérant bien les plus fines paillettes, - les moquettes sont plaquées à la tôle par du métal déployé maintenu par des coins en bois opposés par paires de chaque côté et simplement rentrés "en force" entre cette "grille" et un rebord replié vers l'intérieur au sommet de la paroi latérale du sluice (je ne sais pas si me fait bien comprendre ?), - d'une part le métal déployé retient de plus grosses paillettes, d'autre part le système est facilement démontable, ce qui permet de retirer les moquettes à la fin de chaque journée de travail, - dans la partie amont du sluice, j'ai 3 riffles en tôle de 10 mm de haut (NB : un technicien du BRGM m'a expliqué un jour que la hauteur des riffles doit faire environ 10 fois le diamètre des minéraux que l'on espère récupérer : en France, les grains d'or dépassant 1 mm d'épaisseur sont assez rares, s'pas ?), - comme les moquettes sont facilement amovibles, je peux les "laver" dans une bassine d'eau en les roulant sur elles-même (une fois en commençant par un bout, une deuxième fois en commençant par l'autre) avec toujours les poils à l'extérieur : le fait de les disposer ainsi en "rayons" les écarte et permet aux paillettes de sortir des poils et de tomber dans la bassine (toujours travailler dans l'eau !), - le minerai ainsi récupéré est ensuite concentré encore avec une simple batée, en faisant attention de conserver tout le culot de minéraux lourds pour éviter la perte des paillettes les plus fines, - le résultat est séché, passé sur une colonne de tamis (1 mm, 500 µ, 250 µ, 100 µ), chaque fraction est débarrassée de ses minéraux magnétique à l'aide d'un aimant ventouse puis encore concentrée dans l'eau savonneuse avec une mini-batée, puis rincée, séchée à nouveau et il reste le travail fastidieux de retirer chaque paillette à la pince à épiler pour les plus grosses, au pinceau fin pour les autres...
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