Augustin

Séismes = remplissage de la chambre magmatique en général. Prévoir les éruptions, beaucoup de volcanologues s'y sont cassés les dents.

Je crois me souvenir que l'on peut aussi étudier la composition des fluides, ou celle des gazs pour tenter de prévoir quoi que ce soit. Le gonflement aussi peut être un indicateur, mais rien de prévisible à une date précise. Corrigez moi si je me trompe.

J'en avais presque oublié celle de 2007, tellement celle de 1999 m'avait procuré d'émotion. Surtout la deuxième période !

Une question : vous photographiez à l'horizontale, à la verticale ou avec un angle quelconque ?

Il ne me semble pas qu'il y ait une logique, d'autant que j'ai souvenir d'avoir vu un briquet (posté par A. Martaud) venant de Tunisie avec un allongement très important, sans que la pièce ne soit pour autant très large ou très haute (cf. "les différentes formes de la fluorine).

Cultissime... Les Démons de Jésus, film de Bernie Bonvoisin.

"Il est hors de question que je lèche le cul de la République."

"Dis donc bas du cul, j’ai l’impression que t’hésites entre porter une jupe et t’laisser pousser les jambes ? C'est ambigu, non ?"

Et la scène culte de Martin Lamotte, la tirade de la tosserie !

"A la CIA, on serait spécialiste dans la branche pour faire roter les Portugais... On va finir par attraper la tosserie. La tosserie ? C'est un virus, quand ça s'déclare, t'as des poils qui poussent, après c'est les cols roulés, ensuite t'as les futals qui raccourcissent [...]"

Et celle-là, tu en penses quoi du coup ? Fluorine de Rogerley, Photo : K. Dembicz (SpiriferMineral).

Il me semblait avoir déjà vu des photos plus explicites, mais je ne me souviens plus où...

Clairement en relief et pas en creux.

en fait le tetrahexaèdre n'a rien à voir avec tes troncatures de néris (voir le schéma de modélisation plus haut : c'est de l'hexaoctaèdre)

J'avais bien saisi, je parlais de celle d'Iznogoud.

Pince à épiler sous la bino. De vieux souvenirs de tri de ce type sur une roche du Complexe Leptyno-Amphibolitique du Lévezou (j'adore ce nom !). Passionnant...

Dallol, dépression du Danakil. Ethiopie. Un coin magnifique...

http://www.geoforum.fr/topic/20016-dallol-desert-du-danakil/page__hl__dallol__fromsearch__1

Enfin des girolles pour ma part ! Belle récolte de la matinée, dont certaines bien grosses.

Essai de la DCR-250 sur les insectes..

Conclusion : la mouche se sent beaucoup plus à l'aise dans l'air que dans l'eau.

Bien sympa tout ça ! Iznogoud, cela ressemble bien à la forme de départ, mais avec encore d'autres troncatures sur les sommets des pyramides.

Je dis pas, juste que c'est quand même rare sur ce gisement.

Merci des conseils, depuis le temps que je rêve de ma boite à lumière... Faire sans les bonettes ça va, je pense avoir fait le tour de mon 18-55mm au niveau du "petit". J'en suis réduit à devoir faire des crops qui perdent trop en qualité. Lumière et travail avec un pied, c'est ça qui me manque.

Aucune idée des inclusions, mais galène je ne crois pas. Oui il va falloir bosser, car ces bonettes semblent assez délicates à appréhender. Il faut à tout prix que je trouve le bon compromis pour la lumière, chose que j'avais jusqu'à présent toujours laissé de côté.

Les mêmes troncatures sur certaines Valzergues, mais je ne les aient pas sous la main. Tous les spots de Néris ne montrent pas les mêmes non plus, ou sous d'autres formes.

Question peut être bête à JeF : faut-il systématiquement stacker quand on utilise les bonettes (surtout la 250, mais j'ai aussi une 150) ? La profondeur de champ est très faible en cas de photo unique surtout avec les réglages poussés au maximum.

Tout juste rentré à la maison, et la bonne surprise de trouver mes bonnettes Raynox dans la boite aux lettres.

Premier essai (DCR-250) sur les troncatures d'une fluorine de Néris les Bains. Pas évident à utiliser, d'autant que je l'ai fait à main levée et non avec un trépied.

L'imprégnation : un rituel pour n'importe quel bébé animal

Le terme « imprégnation » évoque l’idée d’une fixation indélébile dans la conscience de l’animal.

C’est Konrad Lorenz qui l’a utilisé le premier pour expliquer le comportement de l’oison qui, à sa sortie de l’œuf, l’a pris pour sa mère, le suivant partout et l’imitant.

Quand un animal naît, il ne sait pas à quelle espèce il appartient !

C'est le contact avec son père qui va lui permettre de savoir s'il est une oie, une vache, un léopard ou une tarente.

Apprentissage de la tarente par imprégnation ?

La tarente apprend comment se comporter par le biais de processus d’apprentissage, qui débutent dans les premiers jours de vie et se consolident dans les mois et les années qui suivent. Elle apprend même si on ne lui enseigne rien : elle répète une attitude parce qu’elle a reçu une gratification à laquelle elle l’associe.

C’est pourquoi de nombreux comportements indésirables ne sont que le résultat d’enseignements erronés du maître. L’apprentissage est progressif. La tarente apprend par ses erreurs.

Au début, elle cherche à accomplir l’action désirée par son maître en se trompant souvent, mais avec le temps elle adoptera plus fréquemment le comportement correct et réussira finalement à exécuter systématiquement et exactement l’ordre donné.

C’est à cette époque qu’elle établit un lien avec son père. Cette période est fondamentale pour la vie de votre compagnon : si les conditions favorables à un développement psychique régulier ne sont pas réunies, la tarente peut présenter des troubles du comportement, comme l’incapacité à socialiser avec l’homme.

La première tarente à aller au Vélodrome, à jouer à la pétanque, à boire du pastis et à faire du lightpainting ?

Niveau nettoyage, celle-ci est parfaite. Ne pas aller plus loin à mon avis.

Encore une fois bien vu, et hâte de voir les prochaines photos (tu en aurais des générales juste pour se rendre compte de l'ambiance des ravines, pour ceux qui ne connaissent pas ?).

Pour suivre avec les pièces de Guillaume (MinedeRien), Baryte 2 génération sur fluorite. Les Fougerettes (03).

Pièce de 7-8cm.

Bien vu Xavier ! Presque certaines calcites mériteraient de rester avec leur voile d'oxyde, cela "découpe" bien les arêtes des cristaux. Tu t'es bien fait plaisir, et merci pour le partage.

Un tournevis plat assez long pour dégager certaines pièces plus en douceur qu'avec un burin classique.

Merci pour l'historique, très intéressant. Un seul regret le jour où j'y suis passé, c'est d'être très fatigué par une longue nuit de gratte, qui ne m'avait plus laissé assez de jus. Mais du moins un joli quartz, et de beaux souvenirs sur ce lieu fort agréable.

Et les copyrights ?