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muriel
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chère Madame, j'ai déjà fait part du risque que je ressens à la préfecture il y a qqs jours. Monsieur Grèze (occitant ?) Merci pour vos mots. Vous ne pouvez pas savoir ce que ça représente Je n’ai pas les termes des géologues, ni leur cursus, je ressens le sol comme d’autres autre chose Vous parlez du gonflement des argiles, et je n’exclus pas ce phénomène. Mais je vous invite à regarder aussi les hauteurs relatives : entre Caroux et Pié de Mar, autrefois, comme un rapport très proche de π. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. c'était donc ma deuxième interrogation Il y a là quelque chose de géométrique qui a bougé, un déséquilibre peut-être lent mais réel. Je ne cherche ni à convaincre, ni à gagner quoi que ce soit. Je cherche juste à ce qu’on se prépare, parce que ça travaille, et qu’un jour, ça cassera. Si vous avez la patience de recroiser ces données là, vous irez plus vite que moi. Je vous le souhaite. je n'ai participé à rien du tout, je n'aime pas bcp la verticalité qui fiche en miettes je n'habite pas le département mais je m'en approche... je vais regarder vos cartes je sais que la poussée ouvrira des brèches sur le versant Sud et pas en douceur là où il y a la fourche les 2 ruisseaux vers l'argentesse, ils ont déjà démoli l'ephad qui n'avait que 20 ans d'existence
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Merci Grèze il y a dans la vie des choses qu'on ne peut pas expliquer comme une particulière sensibilité dont certaines personnes sont dépourvues. tous les réseaux sous la route de croix haute sont cassés, ça pue l'égout ou la mort dans ce quartier abandonné au croisement des routes montpellier nimes avant il s'appelait "CROSAUTE" si vous savez ce qu'est un cros, vous savez alors. l'histoire a christianisé tous les noms mais si on les reprend en occitan ça change tout fin de printemps des quantités de renards ont été abattus. ils étaient adultes et gras, que des males Pourquoi un tel mouvement ? je regarde la montagne différemment de vous parce qu'elle parle depuis 2 ans et de plus en plus fort quand je vais chez ma mère ça craque et c'est la maison qui fait caisse rien n'apparait sur les murs les plafonds c'est un déchirement, le dernier pour moi : à minuit 30 le 14 aout 2023. j'ai tellement eu peur que j'ai envoyé des messages à mes 2 enfants et à mes frères les valats naissent à la même hauteur. la montagne a déjà été décapsulée, c'est une marmite en pression j'assume que je n'expliquerai pas tout, je n'ai pas oublié que je ne suis pas géologue et donc aucunement une responsable aux commandes un citoyen lambda qui habite en ardeche, j'aime la roche ça vous l'aviez deviné.
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message pour la chef à posture ironique : Vous me dites que vous ne voyez que des buttes témoins, des terrains sédimentaires, et que c’est tout. C’est bien là le problème. Le « et c’est tout » sonne comme une fermeture tranquille sur d’éventuels risques pour les riverains que vous mentionnez… sans que cela semble vous inquiéter davantage. Ce qui vous préoccupe surtout, c’est ce que je vois, comment je le vois, et non ce que cela signifie. Moi je suis née là-bas, j’ai grandi dans ces reliefs, et même si je n’ai pas votre vocabulaire géologique, j’ai un autre langage. Et vous me demandez si je vois des résurgences vauclusiennes ? Vous croyez encore que je cherche à cocher vos cases ? Ce n’est pas l’étrangeté que je cherche. C’est la vérité d’un terrain qui travaille, qui pousse, et qui pourrait un jour faire mal. Et ce n’est pas avec un clin d’œil moqueur qu’on colmate un effondrement. Changez rien, vous êtes parfaite.
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si souvent j'ai été pliée et bien rangée qu'à la fin, j'ai quand même sentie que ça m'étouffait, pour faire suite à la conclusion d'Amede que je remercie pour son texte. douter par principe n'est pas mon truc non plus les lieux je les connais, j'ai grandi la bas et je n'ai pas le vocabulaire géologique c'était pas difficile à trouver, geoforum conserve les historiques depuis plusieurs années. Rigolez comme le fait la chef c'est tellement facile, se moquer est un style comme un autre mais ne méprisez pas ce qui vient du terrain. L’absence de trace historique avant le Moyen Âge ne veut pas dire absence de conscience ou d’observation. un village qui change d'orientation pour se mettre au nord moi ça m'interroge c'était ma première observation, et le reste, et bien je le garde pour moi c'est une découverte déjà antériorisée. je ne trouve pas de raison valable de continuer ici. merci pour les liens Grèze.
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il a l'air élastique ce pont de chemin de fer que tout le monde cherche ? https://remonterletemps.ign.fr/comparer/?lon=3.855245&lat=43.967903&z=16.4&layer1=20&layer2=10&mode=split-v
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avec le lien que vous m'avez donné, lâchez Pié de Mar et partez voir au dessus sur le -18m
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Merci pour votre message Grèze — je le reçois comme une ouverture. Je ne dis pas que j’ai tout compris, mais je ne prétends pas non plus qu’il ne faut rien regarder tant qu’on n’a pas de modèle validé. Je ne m’appuie pas que sur les points cotés ni sur Google earth. Ce que je regarde, ce sont : des alignements au sol qu’on ne voit pas toujours à l’écran mais qu’on sent sur le terrain, des noms anciens (comme Pié de Mar, Nègue Bouté, Hippolyte…), des seuils, des distances des barres parallèles, des couloirs orientés des dolmens... comme des rigoles, des végétations qui changent et un verdissement incroyable, des sources qui montent au lieu de descendre, et un château qui tourne le dos au soleil, comme s’il savait d’où venait la menace... Je ne parle pas de bombement abstrait, je parle de tension dans le sol, d’humidité qui pousse de l’intérieur, de pierres qui se déplacent lentement. Et je me demande : pourquoi ce que voyaient les anciens n’aurait plus aucun sens aujourd’hui ? Ils n’avaient pas de lidar, mais ils savaient lire les signes. Je continue à chercher, à documenter. Je ne dis pas que j’ai raison. Mais je regarde. Et je préfère poser une question que refermer le sujet trop vite. le point gps des barres // = 43.564356 3.515327
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"Je comprends que mon hypothèse puisse heurter certaines certitudes. Mais ce n’est pas une opinion, c’est un constat de terrain, recoupé par des altimétries, des tracés d'écoulements visibles, des alignements de seuils, et un faisceau de signes hydrogéologiques. Ce n’est pas à vous de décider seul de sa valeur. Je laisse le soin à d’autres, plus ouverts, d’étudier ce que j’ai collecté." merci d'être intervenu pour essayer d'expliquer.
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Merci pour vos vues IGN ! Elles permettent bien de lire la géographie fine du Pié de Mar. Voici une hypothèse à confronter avec vous tous : Dans la zone sud du Pié de Mar, il existe un dispositif ancien de deux "barres parallèles", espacées d’environ 20 mètres de 50 m de long base de 5 m hauteur de 2, visibles au sol. Elles semblent artificielles ou en tout cas intentionnelles. Elles sont orientées selon un axe précis (au sol des parallaxes en haut des parallèles je peux fournir les coordonnées exactes si besoin). Je pense qu’il pourrait s’agir : d’un système de visée lié à un alignement, ou d’un seuil d’alerte visuel : quand l’eau commence à remonter (de negue boute vers elles) ou à stagner entre ces deux lignes lors de pluies, cela signale une pression anormale dans la montagne. Le gonflement de la montagne (par saturation ou surpression souterraine), comme un ventre prêt à rompre, est envisagé à travers différents indicateurs : altimétrie changeante (rocher du Midi, Pié de Mar, carottage IGN), effondrements en périphérie, formes en croissant de certains versants (écrasement latéral ?). Ces barres seraient alors l’équivalent d’un ancien sismographe visuel rustique, permettant aux bergers ou aux anciens de détecter un changement invisible à l’œil nu. Est-ce que quelqu’un a des outils ou des relevés lidar pour les examiner précisément ? Je suis preneuse.
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Merci Grèze. Puisqu’on est en train de discuter de repères et de déplacements réels, je me permets une suggestion d’observation : Si vous allez dans Google Earth (ou Earth Pro), en vue au sol depuis le Sud, face au Pié de Mar, vous verrez très clairement une forme bombée dans le relief, comme un gonflement anormal à mi-hauteur, entre le bec verseur, les barres et la ligne de crête. Ce bombement pourrait être un indice morphologique, visible sans attendre les nivellements, d’un phénomène lent ou d’un effet de pression interne ou d’ajustement différentiel. Il me semble que cela complète vos observations sur les compartiments, les repères ferroviaires et les décalages cartographiques. Je ne prétends rien de sûr, mais ce genre d’observation directe peut valoir le détour. GEOFORUM.pdf
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« Merci pour votre regard technique. J’apprécie qu’on prenne enfin le temps de regarder les différences d’altitude d’un point de vue sérieux et relatif. Ce que vous dites sur les repères stables (rails, cols) m’intéresse beaucoup. Ce que je remarque sur le terrain, c’est que la tension semble venir de l’Ouest. Cela correspondrait bien à un soulèvement en périphérie, avec un affaissement central lent. Je cherche une hypothèse géologique qui rendrait cela plausible. Vous avez une idée sur ce point ? »
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Merci pour les précisions sur les GPS 🙏 Justement, je suis d’accord : les GPS bruts ne suffisent pas, surtout pour les altitudes. Mais ce n’est pas ce que j’ai utilisé. Ma démarche repose sur des comparaisons croisées entre : les cartes d’état-major anciennes et les cartes IGN actuelles, les repères altimétriques IGN (bornes, tables), des seuils de soutènement, dolmens et murets anciens positionnés avec rigueur, et quelques visées GPS agricoles corrigées (en appoint, jamais seules). J’ai aussi vérifié mon approche avec un point de référence stable : le mont Caroux, bien connu, qui a perdu 1 mètre entre les versions anciennes et actuelles (passant de 1091 m à 1090 m). Cela montre que les écarts peuvent aller dans les deux sens… et que la marge d’incertitude existe bien. Mais à Pié de Mar, c’est l’inverse : on a un gain localisé d’altitude, cohérent avec d'autres indices (soulèvement, fissuration du sol, dévers d’écoulement modifié, tensions rocheuses). Ce ne sont pas des mesures au hasard, mais des faisceaux convergents de faits observés. Je ne demande pas de croire à une fable, mais d’ouvrir un questionnement sérieux : y a-t-il ou non un soulèvement différentiel lent, ou une poussée souterraine ? Merci à ceux qui veulent chercher, pas moquer.
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À Kayou et aux explorateurs de terrain et du coin : Pas besoin d’extraterrestres ni de Bugarach ! Juste un secteur karstique qui montre des anomalies : - des altitudes qui semblent avoir changé, - des affaissements visibles en aval, - et une montagne qui semble monter alors qu’elle devrait s’éroder. Je ne vends pas de mystère, je partage une intuition fondée sur le terrain : un système karstique saturé, colmaté, qui pousse… avant de craquer. Pas de dogme, pas de magie. Juste envie de comprendre avec d’autres têtes… ouvertes. Je peux fournir photos, cartes, relevés si ça vous tente À suivre ? Muriel aux membres curieux : Ce que je vous propose n’est pas une énigme à résoudre, ni un mystère new age. C’est une observation de terrain faite avec sérieux : Comparaison d’altitudes anciennes et actuelles sur plusieurs points, Analyse de fissures, affaissements et écoulements anormaux, Système karstique suspecté d’être en saturation ou en colmatage, Et présence d’une ancienne structure parallèle intrigante dans l’axe de drainage. Je croise mes ressentis avec des cartes, des mesures, des coupes, des vues Lidar et la mémoire locale. Mon hypothèse n’est pas de l’ordre de la foi, mais d’un appel au débat rigoureux ET ouvert. Ce que j’attends : pas des moqueries — mais une contradiction étayée, une lecture géologique, une confrontation d’interprétations. Si vous avez des données, des cartes, des publications ou juste une autre lecture, je suis preneuse. Respectueusement,
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Merci Amede, oui bien sûr les mesures isolées n’ont de sens qu’avec leur pas de temps. Mais ici je parle d’observations locales comparatives entre altitudes anciennes relevées (cartes, GPS agricoles, repères IGN, murs de soutènement) et les données actuelles. Je n’exclus pas un phénomène gravitaire, mais je m’interroge sur un système karstique bloqué par saturation (ou colmatage), pouvant temporairement créer une poussée interne sur des parois déjà fracturées. On observe d’ailleurs : des ruptures, affaissements, arrachement de blocs, un possible bec de surpression (le "bec verseur"), et une structure circulaire des valats. Je ne prétends pas avoir raison, j’avance seulement pas à pas depuis le terrain. Et j’écoute tout ce qui permet d’avancer ensemble.
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oui c'est ça ! et ça n'est pas du tout une montagne ordinaire. Merci beaucoup pour vos retours et pour l’extrait cartographique. Oui, si on suit la lecture classique de la carte BRGM, le Puech de Mar pourrait être perçu comme l’extrémité d’un synclinal. Mais justement, ce sont souvent les extrémités ou charnières de ce type de structure qui concentrent les anomalies de terrain, les tensions hydriques et parfois les ruptures différentielles. Dans mon cas, ce qui m’interpelle, ce n’est pas uniquement la géométrie géologique mais : les soulèvements différents mesurés en des points voisins (ex : +11 m, +4 m sur le Puech et 8m), la saturation hydrique étrange du sous-sol, les sources disparues ou détournées, et des indices topographiques anciens qui semblent désigner ce mont comme un point de tension ou de bascule. Je ne prétends pas tout comprendre, je ne suis pas géologue — mais je suis sur le terrain depuis longtemps, avec des relevés visuels, des observations locales, et des témoignages concordants. L’idée n’est pas d’opposer mais d’ajouter une lecture : sensible, hydraulique, symbolique parfois, mais toujours ancrée dans ce que le terrain “montre” quand on prend le temps de l’écouter. Si ce n’est “que” l’extrémité d’un synclinal, alors peut-être est-ce une extrémité instable, comprimée, ou comprimante. Et ça m’intéresse d’autant plus. Merci pour votre attention, Muriel
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pour avoir lu dans les canards.... les puisatiers de notre décennie ont bouché toutes les sorties pour envoyer l'eau à une source pleine de caca ainsi qu'à la capitale de l'Hérault. Peut être des fakes ? Les fontaines je crois 40 sur ce village ont été condamnées, les puits sont règlementés et l'arrosage aussi ...je ne suis pas spé c'est bien pour ça que je pose la question ici. La carte dit qu'au Sud Est la colline a poussé de 8 m, qu'au Nord disons 11 h la montagne a poussé de 11 m et la seule qui grandit moins vite seulement de 4 m c'est Pié de Mar Merci pour votre réponse interrogative AMEDE la stagnation relative de Pié de Mar, dans un contexte où l’eau est désormais piégée ou canalisée, me semble interroger. Si vous avez accès à une notice plus détaillée ou à des relevés hydrogéologiques précis, je suis preneuse. Bien cordialement, Muriel
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fracture circulaire au sommet du Pié de Mar (Gard, France) Pié de Mar, montagne champignon à pression interne ? 1. CONTEXTE OBSERVE Le massif calcaire appelé localement Pié de Mar (alt. 350 m) présente les caractéristiques suivantes : Il forme un relief isolé, en forme de dôme, dont le sommet est bordé d’une couronne circulaire de valats (petits exutoires..). Cette couronne semble marquer une ancienne fracture en cercle, où la roche a cédé par poussée interne. Tous les valats semblent nés de ce point périphérique, à la manière d'une capsule qui aurait sauté. Contrairement aux collines voisines qui semblent en croissance ou en déformation progressive (de + 8 à +11 m) (par sédimentation ou pression tectonique), le Pié de Mar montre une stagnation apparente de son relief, voire un léger soulèvement localisé + 4m Ce motif circulaire, conjugué à l’absence d’effondrement central visible, évoque un processus de pression ascendante interne et de rupture en périphérie. 2. HYPOTHESE FORMULEE Le Pié de Mar pourrait être une structure rigide, posée sur un socle autonome, et creusée de réseaux souterrains. hypothèse suivante : L'eau confinée en profondeur exerce une pression verticale et latérale croissante, sans pouvoir s'évacuer efficacement. Cette pression aurait provoqué une rupture circulaire à la couronne, point faible d'altération superficielle. Le massif se serait donc "décapsulé" à son sommet, comme un champignon ou une caldeira sans effondrement central. La disposition rayonnante des valats indiquerait une émission simultanée à partir de cette couronne. COMPARAISON SYMBOLIQUE : ALEPOTRYPA (GRECE) La grotte d'Alepotrypa, dans le Péloponnèse, présente un effondrement circulaire à son sommet, conséquence d'une pression interne dans une cavité karstique. je voudrais bien soumettre cette hypothèse à la discussion et/ou au contrôle de spécialistes (hydrogéologues, karstologues, géomorphologues) afin de : Confirmer ou infirmer l’existence d’un soulèvement interne ancien ? Rechercher la présence de conduits souterrains rigides jouant le rôle de trop-plein ? Évaluer les risques potentiels liés à la pression hydrologique actuelle dans ce massif ? merci, muriel
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pour l'odeur : quand elle a fait son test à l'aimant de haut parleur de voiture (test demandé par JCB PS:: sinon le muséum d’histoire naturelle de Paris) mon impression première était : une odeur d'un mix de rouille/de soufre/ de poudre/d'huile et une pointe de pétrole je parle de l'odeur des gueuses de fonte qui ont séjourné dans la mer et se retrouvent à l'air (découvreuse par 2 x je connais cette odeur du métal digéré par la mer) le passage à l'aimant d'une pierre sans odeur a rendu la pierre à vomir durant 1 heure. je vais regarder les liens, merci pour ces infos
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J'ai voulu tout savoir sur cette pierre ...je l'ai trouvée dans la mer au milieu des galets gris, sombres, blancs etc et elle brillait dans l'eau. je suis allée la chercher et hors de l'eau elle brillait encore. je l'ai mise dans ma poche et j'ai continué mes recherches quand je l'ai ressortie sèche elle brillait encore. Si vous avez déjà ramassé des cailloux dans l'eau de mer et bien dès qu'ils sèchent ils sont pales et ne brillent pas du tout ! Au cerege le chercheur a mis de l'alcool dessus parce que pour une provenance mer ça n'était pas possible une telle brillance... il a même demandé si je ne l'avais pas huilée. il a vu par lui même qu'il n'y avait pas de gras ! ensuite elle sent la "pétrochimie" certes il y a pu y avoir des marées noires mais les cailloux plus poreux sentiraient mieux qu'elle, non ? Elle est totalement caramélisée. Elle dégaze fortement à l'aimant. ses grains sont gros au centre et une kirielle de petits en périphérie. Elle s'aimante comme une grande ! elle a une forme aérodynamique, elle est verte dedans ! Le cerege a dit votre pierre est très belle ! depuis cette pierre a été coupée en 2 et j'adore regarder ses couleurs : des ronds noirs dans des carrés verts ou vice versa, de belles mosaïques réassemblées elle a tellement de profondeur qu'on voit les grains du dessous et c'est très beau. j'ai eu bcp de plaisir à vivre cette aventure que ça me suffit. En revanche j'ai compris pour le quidam la difficulté de parvenir à être écouté. j'ai vu de très belles roches dans les cartons, les armoires fermées, comme dans la chambre forte toutes venues de l'espace et d'autres du ciel aussi, qui calaient les portes ou serraient les piles de papier/revues si si Aussi demain si j'en trouve une vraie... Si qqun peut fermer cette discussion ? merci
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Merci Elasmo, je connaissais cette vidéo
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je ne sais pas ce qui vous arrive avec ça "Vous pensez donc qu'elle aussi provient de la ceinture d'astéroïdes gravitant entre Mars et Jupiter ?" c'est vous qui êtes tenace le gars du cerege si vous les connaissez c'est P le prénom et R le nom parti à la retraite fin 2023 non il n'a pas fait d'analyses non je n'ai pas de document durant 2 1/2 mois il a gardé le caillou il l'a ensaché, noté la provenance sur son ordi et surtout m'a montré atelier après atelier toutes les étapes pour l'analyse parce que la pierre n'était pas à 100% une serpentinite plein de salamalecs voilà mon vécu sur la façon. maintenant on va arrêter là parce que je m'en fiche complétement de son analyse j'aime la pierre et j'aime l'histoire qui l'entoure en revanche je n'ai pas perdu mon temps : j'ai été éblouie de voir tant de roches il m'a poussée et m'a autorisée à regarder ce que je voulais tiroirs, armoires bureau cartons pendant qu'il regardait à la bino avant de couper et après ensuite il a récup les clés des chambres fortes et là encore a sorti des lames de roches de petites et grandes dimensions et c'était divin j'étais sur un nuage tellement c'était beau il a cherché à me montrer un max de pierres étranges merci pour les réf des livres oui je doute des explications quand j'y trouve des faiblesses je vous invite à lire la prose de terpon et on en reparle et à voir terpon en vrai pour terminer : je ne doute pas de l'analyse du chercheur géologue du Louvre qui a expertise cette énorme pierre comme un bétyle en serpentinite comme tous les bétyles qui sont sacrés car spéciaux vous voyez retour sur la roche bonne soirée
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Pour compléter propos 1 / si c'est un bétyle il se suffisait à lui même 2/ si ça n'est pas un : - quel était le texte gravé au départ (on nous apprend que des lettres ont été glissées comme correction)... - les gens qui savaient écrire à cette époque, le savaient. j'imagine mal un érudit s'aventurer à choisir un exécutant pas compétent du tout, pour lui ordonner de graver une référence élogieuse (et douteuse) pavée de fautes d'orthographe pour la postérité. c'est pour cela que je parle d'un pseudo cultivé qui a gravé comme un manche cette belle pierre on nous dit rien sur elle, j'aurais aimé savoir : si elle s'aimante ? si elle sent le pétrole à la chaleur ou l'aimant ? si encore elle est composée de cuivre ? si les bétyles de Chypre sont identiques... son histoire est un phallus couché ! bigre, quel bide !
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Quand le cerege m'a appris après 2 mois (sans avoir fait d'analyses y compris tout le déroulé par les différents ateliers) que c'était de la serpentinite je me suis souvenue que j'avais vu ce mot et je suis retournée au musée archéo voir la pierre. idem couleur mais pas l'aspect velouté. j'ai vu les "mots" pour présenter la pierre et j'ai entrepris sur les moteurs de retrouver les analyses etc et il y avait tellement d'incohérences que j'ai cherché à faire bouger les lignes Strabon le géographe est venu à Antibes la rénovation de la garoupe a certainement mis en évidence cette pierre je ne me fais pas un film mais les cupides vantards ça existe surtout à une époque où le pillage s'appelait de la sauvegarde ! les écrits peuvent être ou pas antiques ! un minimum de vérité s'impose pour le déterminer !