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muriel
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https://sante.gouv.fr/sante-et-environnement/eaux/article/les-pfas-et-l-eau-destinee-a-la-consommation-humaine
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Vous me prêtez un beau lot d’intentions, Madame, presque toutes mauvaises… est-ce le courant qui vous emporte, mais ça dérape un peu. Je n’ai parlé ni de “dealers”, ni de “coquins”, ni de “complot”, ni même de “gratuité” pour l’eau du robinet. seulement d'un constat : dès qu’on paye quelque chose, c’est une marchandise ou un service au choix. À trop vouloir me tirer vers des caricatures que je n’ai ni nommées, ni dessinées, vous serrez vous-même un nœud comment dire "coulant" peut être... autour du débat.
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Des l'instant où on paye l'eau cela me semble une marchandise, pas pour vous ? que le retraitement conduise à des erreurs sur un document officiel, n'est pas de mon fait. c'est un empilement de documents officiels retraités, comment dire ... : peut être que ça dilue le problème pour rester avec l'eau ? qui parle de fantaisie ? de dealers ? de douteux ? suspect ? complotistes ? parti pris ? c'est pas moi bouffons ? il en faut ça fait rigoler et j'adore.
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vous voulez dire je n'ai pas choisi la bonne vitrine des marchands d'eau ? j'ai du me laisser endormir merci Kayou pour l'info
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Merci pour le lien qui nous ramène au tout début "pour avoir lu dans les canards.... les puisatiers de notre décennie ont bouché toutes les sorties pour envoyer l'eau à une source pleine de caca ainsi qu'à la capitale de l'Hérault. Peut être des fakes ? Les fontaines je crois 40 sur ce village ont été condamnées, les puits sont règlementés et l'arrosage aussi ..." je ne suis ni sourcier, ni géologue, ni rien du tout donc nous aurions au sommet des sédiments bien collés aux parois comme rétifs à l'écoulement en bas un sol stérile une végétation qui colonise le haut et une autre prostrée en bas. Jusqu'à présent la végétalisation d'une surface (montagne isolée) ne part pas du haut pour aller vers le bas. Sauf un volcan. et là bas il n'y en a pas. je vais arrêter ici mon intervention. je suis désolée de vous avoir fait perdre votre temps, ça n'est pas le bon forum pour répondre à mes questions.
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bonjour "avant 1980 une mosaïque de parcelles de vignes plantées sans plan d'ensemble. Après la vague d'arrachage, quelques paysans ont tenté la reconversion avec des asperges ensuite des céréales non irriguées et d'autres en moindre quantité ont restructuré leur vignoble" = ce que j'ai écrit je n'ai jamais vu de cultures de céréales en terrasse peut-être le pois chiche ? dans ce village la culture se faisait en plaine. (Versant nord c'était des tanneurs implantés autour du Vidourle.) donc au sud et au soleil du matin au soir sur l'étage bas il y avait des parcelles de muriers avec le petit mazet et la citerne intégrée. Ensuite sur le tiers inférieur il y a eu des oliviers en terrasse qui ont gelé. Les cultures sur les micro terrasses n'existent plus depuis longtemps, le village a été abandonné pour passer au nord. er, Vous soulevez un point pertinent sur les terrasses. C’est justement cette question de cohérence du paysage qui m’a poussée à m’interroger Et pourquoi, malgré la pente, voit-on aujourd’hui une végétation aussi haute et vigoureuse sur des sols censés être pauvres, grillés et lessivés ? les températures sont excessives l'été 40 à 45 la végétation en bas est prostrée quand elle existe, pourquoi la végétation sur les pentes n'a pas soif ?
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Jjj bonsoir absolument sûre je suis née à Ganges et j'ai vécu là-bas. La plaine, la vigne, un peu d'oliviers étagés morts de froid en 55 ou 57, j'étais pas née. Je me souviens qu'il y avait encore les brebis qui slalomaient entre les 'bartas' épineux en face donc Masselle ou le sol qui a la même quantité de pluie que pie de mar, sans les ovins depuis longtemps reste nu (non il se dispute avec le thym) A plat rien ne pousse, sur les flancs il y a des chênes, des arbousiers, des pins, du petit houx etc et elle ne fait que 350 m et je parle du flanc sud. Normalement les arbres vont au nord, ceux là même pas chaud !
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j'ai écrit de negue boute -> Pompignan -> pic st loup je n'ai pas dit Montpellier -> pic st loup. j'y suis allée au mois de mai dernier pour revoir les dolmens, je devais vérifier un angle. Le thym pousse et le genévrier aussi. Je suis allée demander le droit pour passer en voiture et à pied, c'est une propriété privée. Avez vous vu comment ça déchire la peau ou les vêtements ? c'est une végétation qui transforme ses feuilles en épines et qui pousse donc en terrain sec.
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https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1963_num_60_11_3958 page 814
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Merci Acer je les avais consultés à la Bibliothèque Jacques Dupin de Privas et j'ai aussi lu les rapports de recherches sur persée des dolmens du village de St Hippo et j'ai été étonnée que personne ne développe une idée comment dire, transversale sur le rôle supposée (autre que parure mortuaire) des perles callaïs, pierre sensible à l’humidité régulièrement trouvée. je n'ai pas trouvé de documentation à ce sujet et vous ?
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"Pour les dolmens, citez-moi le texte précis, avec les références, svp. Je crains fort qu'il y ait là encore une interprétation (très) abusive de votre part." Oui bien sûr. Je vous renvoie aux travaux d’A. Beeching et G. Sauzade (CNRS), notamment dans les actes de colloques et publications en accès sur Persée.fr ou dans Gallia Préhistoire. Les données indiquent qu’en Cévennes, environ 30 % des dolmens fouillés contiennent des restes humains d’époque néolithique clairement identifiés, souvent partiels et dans des contextes perturbés. N’hésitez pas à les consulter, je ne suis pas là pour réécrire les bibliographies existantes.
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Vous trépignez ? Des études (en cévennes) A. Beeching, G. Sauzade du CNRS confirment une diversité d’usage et l’impossibilité de généraliser la fonction tombale. Pourquoi ? 30 % des dolmens fouillés contiennent des restes humains d’époque néolithique, souvent en très faible quantité, et parfois hors contexte clair : intrusions, remaniements, pillages anciens…
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Bonjour, le terrain du versant Sud je le connais très bien : avant 1980 une mosaïque de parcelles de vignes plantées sans plan d'ensemble. Après la vague d'arrachage, quelques paysans ont tenté la reconversion avec des asperges ensuite des céréales non irriguées et d'autres en moindre quantité ont restructuré leur vignoble et ont réussi leur pari. les autres ont cessé leurs activité agricole. Sur la rive droite du Negue Boute des drailles existent pour les ovins du territoire qui s'étendait jusqu'à Pompignan, Pic St Loup. Le sol n'est plus piétiné depuis longtemps et pourtant il a gardé le même aspect. Pour les vers à soie, le murier n'existe plus depuis au moins un siècle. Sur le bas du versant des oliviers étaient plantés et ont gelé autour de 1950. Pas de programme de reboisement. Des flancs censés ne pas retenir l'eau des épisodes cévenols brutaux, sont verts. Le sommet balayé par les vents, écrasé par la chaleur ou le gel est vert et la hauteur des arbres surprend, on circule sous le couvert. Les échanges thermiques coiffent régulièrement le sommet d'une couronne de brume. je suis censée ne pas faire de littérature, d'échanger sur la peinture et je pense encore moins de discuter préhistoire ici, mais sur un autre forum pas de problème. Pour les résurgences vauclusiennes : non. Je connais l'aven de Salle de Gour qui est sec. Des particuliers ont effectué des forages en profondeur et ont perdu ensuite leur pompe.
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Merci pour le lien Grèze j'ai adoré le document sur la toponymie comme le mot "graves" et le château des graves petite réplique de la villa Bonaparte, à Rome. en bordure exacte de l'Argentesse et d'autres ..c'est très instructif. merci Les armoiries, aussi comme la tour plus courte du flanc droit quand on regarde sa façade exposée plein nord et les 4 tas de sable devant ! château fondé sur montagne d'argent ....l'ombre portée..
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Merci Grèze pour votre lecture détaillée, Je comprends vos remarques. J’emploie parfois des images (champignon, capsule, couronne) pour décrire des sensations d’ensemble, observées sur le terrain et ressenties aussi dans les déformations du sol, l’orientation des valats (c'est André Peyriat qui utilise ce mot) la croissance végétale, les anciens noms des quartiers. Ce que je cherche, c’est un dialogue entre ce qu’on sait, ce qu’on voit, et ce qu’on pressent. Je retiens votre remarque sur les références altimétriques anciennes. Mais l’humidité qui monte aujourd’hui dans Pié de Mar = montagne isolée à l'ombre de rien, sans rivière qui baigne le pied, sans culture irriguée, en période de sécheresse, de la roche qui rayonne un maximum me pousse à croire qu’une pression humide interne, agit. Si je peux exprimer cela autrement pour mieux me faire comprendre des géologues, je le ferai volontiers. quand je la regarde en 1950 et maintenant il me semble que la végétation remonte à contre sécheresse je m'y suis promenée tout en haut l'année dernière et les arbres sont en très bonne santé alors que les petits monts à coté pleurent et sont torturés de soif et ne parlons pas de la petite plaine. Merci de soumettre ce phénomène. Muriel
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histoire du village : André Peyriat année 1577 dimanche 20 janvier, page 51 et page 52 (ils ne devaient pas oublier un seul quartier... ) pour le coup il manque l'Eglise et Croix haute en français nous avons d'après le livre 1= planquettes, 2 =Valatougès, 3= Crosaute, 4= Mandiargues, 5= Lagleize, 6 = trouillas, 7= la cadière le 2, 4, 6 et 7 portent toujours le même nom le 3= croix haute d'horizontal il est passé à la verticale le 5 = s'est superbement verticalisé sans avoir jamais eu, une seule trace d'église le 1 = c'est l'endroit d'implantation des anciens tanneurs je reviens sur le 5 lagleize = glaise, glaize Latin : glesia, glasia église = ecclesia Nous portons chacun nos expériences, et toutes ne sont pas mesurables. Merci pour votre aide. IMG_3822.HEIC IMG_3821.HEIC
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Bonjour Acer, Merci pour l'ouverture que vous apportez ici. Je reconnais dans votre témoignage quelque chose que j’ai moi-même vécu — cela ne s'explique pas, mais cela agit. Comme un guérisseur qui efface une brûlure, ou comme un tableau qui, d’un coup, devient lisible. J’ai lu le sens des empreintes "galets" dans les trois Bleus de Miró en revenant d'une conférence " Mines de Flaviac" . Cela ne se prouve pas, cela se perçoit. Et parfois, cela suffit. Bien à vous, Muriel
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cros et crotz : du latin crypta ou cruceus, creux, dépression naturelle, un trou, doline, gouffre ou un vallon encaissé. Croix : du latin crux, crucis Intersection, carrefour, X, croisillon ou foi ou tombe : croix funéraire histoire de St Hippolyte du Fort : p 50.51.52 "organisation de l'église réformée sermon du jeûne en 1577" Crosaute est repris près d'une dizaine de fois d'André Peyriat J'ajoute qu'il n'y a jamais eu de croix dans ce quartier, absolument jamais. Ensuite une seule route par le passé reliait le faubourg de l'Eqlise pour venir à celui de Croix Haute. L'expansion du village s'est faite en contournant la montagne E-N-O et des quartiers se sont développés. pour les taches : je ne prétends pas les voir sur les images que vous partagez Je n’oppose pas la science à la sensation. Je propose un regard complémentaire. Les anciens lisaient la terre avec autre chose que des courbes de niveau.
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vous voulez dire la fonction donnée par des chercheurs au siècle dernier ? oui je sais une tombe vous voulez dire ? ferme la recherche ou bien pour voir le soleil se lever ? quel idée.. tous les matins grimper sur la montagne pour voir si le soleil se lève bien à l'Est ou bien la dernière demeure d'un seigneur ? le sachant puissant qui écrase jusque dans la mort vous menez un combat contre moi que vous avez perdu "l'aspect du monument à l'époque de son utilisation " comme c'est étrange...
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Bonjour un pdf à l'attention de Glèze ou alter ego accompagne ce message qqs explications sont données Permettre de protéger les gens, est ma motivation, et vous ? VISEES Fiche tech dolmens.pdf
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un croquis ? vous voulez mon mikado d'axes ? vous ne voyez pas les tâches c'est ça ? c'est dommage
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du barycentre à 220 m, à 210, à 200 m
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message pour Glèze, vous avez compris que je suis tenace alors je continue. les géologues d'antan étaient, aussi, de merveilleuses sentinelles au service de la population des milliers d'années nous séparent d'eux et pourtant, cet œil tient toujours avec leurs indications terrain, j'ai trouvé un barycentre qui est un triangle formé par trois anomalies visibles au sol, dans une zone comportant plusieurs avens recensés Ce point semble au croisement d’axes de tension souterraine et pourrait mériter un instrument de surveillance ? (avec le balayage remonter le temps ces anomalies sont maintenant présentes à ~210 m de Tâche 1 , à ~220 m de Tâche 2, à ~200 m de Tâche 3 du barycentre) Coordonnées : 43.939625° N, 3.850123° E en espérant qu’elles puissent être utiles dans vos suivis. Bien à vous,
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Merci pour ce rappel sur les instruments anciens, c’est exactement ce que je cherchais à creuser. Je suis d’accord que les altitudes anciennes sont à manipuler avec prudence, mais je m’interroge justement sur ces variations : si elles ont été prises sur les mêmes points de référence, avec les mêmes méthodes, et que certaines altitudes ont bougé tandis que d’autres non, cela devient intéressant à observer — même si ce n’est pas une preuve. Concernant π, je ne l’utilise pas comme preuve mais comme indice d’un langage géométrique ancien peut-être codé dans le paysage. J’essaie de croiser les données sensibles... tout en laissant à d’autres le soin de valider ou pas ces intuitions par des méthodes normées. Ce qui m’importe, c’est de ne pas évacuer des phénomènes juste parce qu’ils ne “rentrent pas dans les cases” tout de suite. Je comprends mieux maintenant où poser mes prochaines questions. Je suis tout à fait d’accord qu’il faut s’interroger sur la manière dont les hauteurs ont été obtenues, et c’est justement ce que je fais. À propos de mesures, j’aimerais partager une expérience personnelle : en travaillant sur des alignements de dolmens, j’ai repéré une récurrence métrique très étrange, toujours la même distance entre certains monuments. Quand j’en ai fait part à une doctorante en archéologie, elle m’a répondu : « Mais pourquoi vouliez-vous qu’on les mesure ? On les voit. » Ce genre de réponse m’interroge. Est-ce qu’on refuse de mesurer parce que ça pourrait remettre en question certaines certitudes ? Parce que si on ne cherche pas, on ne trouve rien — et si on ne trouve rien, tout reste bien tranquille.