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▲ Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024 ▲ |
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Salut TOM,
C'est ta pièce de St Fons? Il n'y a pas de la dolomie aussi?
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Hello rasc :coucou!: Comme toujours , je deballerai tout ca d'ici quelques decennies
Impressionnant ta récolte 2008, j'ai hâte d'être à la retraite...
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Merci Evelyne Moi aussi je suis très content de t'avoir rencontré: on a passé une bonne soirée à St Fons.
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Woaaw!
Si c'est une découverte perso tu dois en être vraiment fière.
Non ce n'est pas une découverte perso, mais son découvreur m'a précisément donné le lieu et les circonstances de découverte. On verra ça l'année prochaine.
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Une anatase du meme gisement que le quartz de trenen
Si c'est de la Hardangervidda dont vous faites allusion, il ne s'agit pas d'un gisement mais d'un vaste plateau pelé sans arbre avec de la pelouse alpine, ça doit faire plusieurs milliers de km2...
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Effectivement, reportage à voir...
Avec des images étonnantes: la descente des ascenseurs, la séquence des souffleries pour l'aération de la mine, et plus, les conditions d'extraction des mineurs, acroupis dans des boyaux de 1m de haut, en train d'étayer... Comment ils suivent le filon qui descend obliquement, toujours plus profond.
Et encore c'est la mine la plus riche du monde! Il y des images d'une mine voisine, pas du tout les mêmes conditions: mécanisation et forage dans des galleries larges et "confortables".
Et dire que dans les années qui viennent ils projètent de descendre à -3800m!
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deux adresses pour admirer les trouvailles de nos collègues italiens:
http://www.summitpost.org/album/437560/Cry...nte-Bianco.html
Oui belles trouvailles de ce cristallier valdotain... Et aussi superbes photos de montagne.
Etonnante mine de Beudelin ou de Miage perchée en pleine paroi, apparemment abandonnée dès le XIXème.
On peut en voir une autre photo sous
http://www.macminerals.com/artmbian.htm
avec le commentaire: les mineurs dormaient dans la mine plutôt que dans des huttes à cause des avalanches...
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Je viens de découvrir le sujet... et je suis scotché!!!
Les Ardennes, c'est connu pour ses sangliers, mais quand on voit les quartz, on s'attend à ce qu'il y ait des chamois et des bouquetins derrière chaque rocher
Comme dit JP, les Ardennes, après les Alpes, l'autre pays du quartz...
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t'y étais avec ploum ?
Bravo Orlean: on était ensemble (voir mon site)...
Le Triolet versant italien, par un froid et humide week end d'Octobre. Quand on est descendu dans le brouillard, on est tombé sur un panneau -vietato... minerali... - bref on savait pas que la collecte de cailloux était "vietato", de toutes façon on a pas fait de mal aux "minerali" ce jour. Quand on voit les pièces (récentes) qui viennent du Triolet, on imagine que c'est "vietato" de manière elastique...
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J'en étais sûr... C'est l'escalade des cailloux...
Bientôt il vont se les jeter dessus
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Bonsoir Ecce,
La pièce de quartz avec calcite vient peut être de Maronne mais ce n'est pas du pruneau!
C'est seulement du quartz fantôme (chlorite).
Le quartz batisé pruneau de Maronne, est morion, associé à des calcites jaune.
Très peu de pièces ont été découvertes. C'est peut-être le fruit d'une seule poche !
Merci Denis de ces précisions. Ce n'est pas la belle plaque de quartz muzo avec calcite qui m'a fait parler de quartz pruneau, mais le gros biterminé (apparemment) avec calcite http://www.alpinismeetmineraux.fr/mineralo...nich2008478.htm qui a un habitus plus dauphiné.
Effectivement, j'ai lu les bouquins de B. François avec de belles pages qui racontent les travaux de Maronne...
Des pièces anciennes, ces pruneaux.
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Super Marco,j'ai été faire un tour,top pièces,en revanche le gros groupe de fumé noir avec la rose de Baryte,c'est pas la Gardette,sûr,mais plutôt les Grandes Rousses....++++Ced
Pas sûr Ced: l'étiquette à moitié visible donne la Mine à Giraud, ça vient bien de la Gardette...
pour la pièce http://www.alpinismeetmineraux.fr/mineralo...nich2008477.htm
Par contre, celle ci: http://www.alpinismeetmineraux.fr/mineralo...nich2008476.htm
Maronne aussi?
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En visitant le compte rendu de Ploum sur la dernière bourse de Münich, je suis tombé en arrêt (entre autres ) sur sa page consacrée aux minéraux de l'Oisans:
http://www.alpinismeetmineraux.fr/mineralo...neurs2008-7.htm
- calcite et quartz muzo (pruneaux !) de Maronne
- pompons de baryte sur quartz fumés (brannerite) de la Gardette
- quartz+ chalco de la Gardette
A voir, des pièces rares!!!
Si Ploum a des commentaires à faire...
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Je reviens tout juste de ton site Fred, et bien, les pages sur l'or des Alpes m'a mis sur le .
Phénoménal ces pièces de Brusson (principalement si j'ai bien compris) et dire qu'il y a des pièces pluri-décimétriques!!!
J'y retourne
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Bonjour,
L'auteur aurait-il daté approximativement ces périodes chaudes et froides, ce qui permettrait une comparaison 'dans le temps' avec les cycles solaires??
Nous nous trouvons statistiquement dans le cas des évènements rares, la loi de Poisson (si j'ai bonne mémoire): imprévisibilité totale.
Effectivement, il est arrivé à l'échelle de l'Europe à reconstituer une alternance de périodes chaudes et froides.
A défaut de lire ses bouquins, il faut absolument lire un "digest" sur le net:
http://www.canalacademie.com/Peut-on-ecrir...istoire-du.html
c'est très intéressant. Dans ce texte, pour le petit age glaciaire, il parle effectivement du déficit des taches solaires (minimum de Maunder), concomitantes avec la dureté du climat de cette époque.
Des lois statistiques qui décrivent des évènements extrêmes, il y en a des quantités (gumbel, etc...). Celà dit, les méthodes d'estimation de crues extrêmes sont assez nombreuses. Elles peuvent être assez rustiques et peu gourmandes en données (dans le cas d'un petit bureau d'étude qui doit payer pour accéder aux données hydrologiques) ou très élaborées (et très gourmandes en données) pour les organismes participant à la gestion de l'eau (type EDF).
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Effectivement Bene, la dernière photo que tu as posté: c'est exactement ça, un demi sceptre.
Au secours Papyfred: viens à notre aide!
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C'est peut être pas le meilleur post pour la question que je pose mais j'ai une faiblesse pour celui là: Minéralogie du Dauphiné
Alors. En farfouillant dans les pièces de second choix, je suis tombé sur ce sujet: un chloriteux fantôme des 2 Alpes bien dépoli et vilain avec une croissance de quartz assez pur par dessus:
Je me suis dit sceptre ou surcroissance d'un quartz sur un support? Quelle est la "limite"?
D'un coté on voit bien la croissance qui est survenue, et qui "déborde" sur son support:
Mais une face est coplanaire avec le support:
Un sceptre doit il être "isotrope"?: recouvrir son support sur toutes les faces, croitre dans toutes les directions? Ou peut il être partiel: "sceptré" sur quelques faces du support, recristallisé sur les autres faces du support?
Alors hémi-sceptre ou zigouigoui?
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Rien que pour la petite histoire... A l'époque Romaine et au début du Moyen Age on passait par le Col du Géant ( les locaux connaissent ) grâce à un sentier... En 1820.... c'était une toute autre histoire... Ca l'est d'ailleurs toujours... prévoir piolet et campons... ( je pense pas que ce genre de matériel ai été disponible à l'époque... de plus il n'existe pas en taille et modèle 'Vache' )
Tu as peut être lu "L'histoire du climat depuis l'an mil" de Leroy Ladurie? Ses deux tomes regorgent d'anecdotes de ce type...
L'auteur est un historien au départ mais il s'est proposé de faire une esquisse de l'évolution du climat à partir de données scientifiques "dures": dendrochronologie (l'étude des cernes de croissance des arbres), ou avec des méthodes plus traditionnellement historiques: il s'est servi des séries chronologiques des dates de vendanges en Europe (très bon descripteur du climat), celles de la première fleur de cerisier au Japon! (critère "magique", relevé religieusement par les moines shintoistes).
Ces marqueurs lui ont permi de mettre en évidence l'alternance de périodes chaudes et froides sur sa période d'étude.
Il s'est également intéressé aux glaciers alpins (ceux de Chamonix en particulier) pour montrer l'impact du petit age glaciaire (fin XVII, début XVIIIème), avec l'avancée des glaciers jusque dans la vallée de Chamonix.
Eh bien, dans cette longue période, alors que le influence anthropique est quasi nulle, de mémoire et adecdotiquement: le Rhône gèle à Avignon si bien qu'on le franchit à pied, la banquise à Dunkerque, des périodes de sécheresse dans l'Ouest de la France à l'époque de Charlemagne (des fleuves comme l'Indre complètement asséchés...), de la forêt jusqu'à 2500m dans les Alpes du Nord... Bref, une grande variabilité du climat dans un sens comme dans l'autre, et sur une période très courte (pas à l'échelle humaine j'en conviens).
J'aime bien les remarques de Gadin: en Europe, les premiers relevés limnigraphiques et stations de jaugeages datent du milieu du XIX (sur le Rhin pour les premières si je me rappelle bien). Ca nous fait 150 ans d'archive: c'est peu pour estimer des évènements extrèmes! sachant que pour calculer des périodes de retour de crues (par exemple) on se sert de ces mêmes données sur lesquelles ont plaque des modèles statistiques "extrêmes"...
Alors, dans ces conditions, il ne faut pas s'étonner de mesurer des évènements extrêmes (à grande période de retour comme des crues centennales) sur une durée qui n'est pas centennale! => les 3 crues de la Loire de 1846, 1856 et 1866 que cite Gadin. Ou les deux crues centennales du Rhône fin 1993, début 1994 à quelques mois d'écart... Encore qu'on pourrait dire que c'était la même crue (question d'échelle temporelle après tout).
Quand je lis ce post, je vois bien que nombreux appuient sur la "gachette" du changement climatique. C'est à la mode dans les média et c'est aussi une variante du "y'a plus d'saison mon bon monsieur". Mais s'il commence à être attesté dans certaines régions du monde (même dans les Alpes on le voit), c'est pas du tout certain qu'il ait affecté nos régimes pluviométriques...
Et après tout les fortes précipitations qui ont provoqué les innondations sur le bassin de la Loire ne sont peut être qu'une variante de précipitations cévennoles (c'est la saison), avec un décalage un peu plus au nord cette année (c'est vrai que le temps est doux cette année et qu'elles se sont aventurées un peu plus au nord...).
Et puis comme beaucoup l'on rappelé: la pression humaine s'est étendue sur des terrains qu'elle n'occupait pas auparavant (et la France n'est pas la plus exposée)... Résultat: les pertes humaines sont plus fortes, les dégats matériels et le coût financier plus élevé (tout s'assure, chose qui était moins vraie par le passé).
Tiens je me suis laché aujourd'hui...
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Superbe journée à cette bourse chamoniarde... Très, très conviviale, rien à voir avec les "grandes" bourses: c'est l'occasion de discuter avec les cristalliers qui visiblement sont plus disponibles et détendus que plus tôt en saison.
Ravi d'avoir rencontré Quartzeus, MinéralParangon et j'ai pû découvrir le terrible secret des sceptres de benevolus
Annonce importante pour ceux qui recherche le Lacroix
dans Echanges de minéraux
Posté(e)
Non c'est pas ça du tout. Le sujet a déjà été abordé sur le forum.
C'est juste que rééditer un ouvrage de ce type (à supposer d'abord qu'il y ait une maison d'édition volontaire pour ce genre d'aventure...) coute très cher et ne se sera vendu qu'à un nombre limité d'exemplaire. Donc un risque élevé de ne pas rentrer dans ces frais.
Reste le marché de l'occasion. Peu d'exemplaires tirés en 1977, conservés par des amateurs qui les gardent donc peu d'ouvrages sur le marché et des prix forcement élevés. Celà dit 500€, "c'est pas cher" quand on voit le ratio que donne PetraQuadrata à l'époque...