Aller au contenu
Quelques-uns des principaux sujets de Géoforum.

Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

geodebutant

Membre
  • Compteur de contenus

    7
  • Inscription

  • Dernière visite

geodebutant's Achievements

  1. Bonjour, Certains orpailleurs utilisent une pompe dite "Henderson". Est-ce que quelqu'un connait et sait où l'on peut acheter ce type de matériel ? (le cas échéant sur internet) Bien cordialement.
  2. Bonjour à tous, Certains prospecteurs, en Australie ou aux USA par exemple, utilisent des détecteurs de métaux pour rechercher l'or natif. 1 - Hormis l'or, il y a-t-il d'autres minéraux métalliques qui pourraient être prospectés à l'aide de ce type d'appareil ? 2 - Les pépites d'or en France étant plutôt de taille limitée, les détecteurs de métaux ont-ils, à votre avis, un intérêt en France pour ce type de prospection ? Bien cordialement
  3. Bonjour à tous, Est-il possible, en orpaillant, de trouver dans le fond de la batée des éléments que l'on pourrait qualifier de "sensibles", du type sels d'uranium, arsenic, cyanures ou autres produits amiantés ? Comment les reconnaitre le cas échéant et il y a-t-il des précautions particulières à prendre (concernant leur manipulation et/ou un stockage éventuel dans une collection de minéraux)? Bien cordialement.
  4. Bonjour à tous, Ma question concerne l'utilisation d'un tamis pour l'orpaillage. Quelle maille préconiseriez-vous pour une prospection en rivière en France ? (pour les paillettes d'or mais aussi pour les autres minéraux comme les corindons). Bien cordialement.
  5. Je te remercie beaucoup Serge pour le détail de ta réponse. C'est très utile pour moi. Je comprends que chaque rivière a ses spécificités, c'est bien normal, mais que, en résumé : 1 - soit on vise l'or "récent" redéposé par les dernières crues et dans ce cas on prospecte des placers de crues, en tête de méandre par exemple, et a priori à sec en été. Je comprend que les paillettes sont alors plutôt petites mais plus accessibles car à faible profondeur (10 - 30 cm) ; 2 - soit on vise l'or plus ancien, qui lui est descendu sur le bedrock (substrat rocheux) ou faux bedrock (couche argile) et dans ce cas on prospecte au beau milieu de la rivière, en eau vive, et on creuse profond jusqu'à atteindre ce bedrock. Les paillettes sont alors plus grosses, voire atteignent la taille de grains, mais il faut creuser beaucoup plus profondément que dans le cas précédent et avec un niveau d'eau important. Est-ce bien exact? NB: Bien qu'habitant la région parisienne, je n'hésite pas à faire quelques centaines de km pour prospecter durant un Weekend, dans le Puy-de-Dôme par exemple...
  6. Bonjour le sablais et merci pour ta réponse rapide, Effectivement cet ouvrage est très intéressant et c'est, en fait, un de mes premiers achats, en termes de documentation. Je l'ai lu avec attention mais il ne répond, me semble-t-il, que partiellement à mon interrogation sur un plan pratique. La notion d'obstacles, de failles, marmites, etc..., est facile à comprendre. Ce qui me pose une difficulté, c'est de savoir sélectionner dans la pratique ces obstacles et/ou failles par rapport notamment à la hauteur d'eau (milieu du lit, berges, zones intermédiaires, lit vif ou berges émergées,...). Peux-tu m'en dire un peu plus sur ce point particulier? Bien cordialement
  7. Bonjour à tous, Je m'intéresse depuis peu à l'orpaillage (paillettes or, petits saphirs, ...). Je débute et une de mes difficultés consiste à savoir précisément où donner mes coups de pelle, sur un site donné. Certains commentaires disent que "les éléments lourds vont en ligne droite, ne suivent pas les méandres", et sont donc au fond du lit de la rivière, en eau vive. C'est ce qu'ils appellent je crois la ligne d'or, qui descend quasiment en ligne droite au plus profond du lit de la rivière. A l'inverse, d'autres commentaires parlent d'obstacles, type souches d'arbre, racines, herbiers, qui à priori sont plutôt en dehors du lit vif de la rivière, à sec en été, sur les berges. En pratique, est-il plus efficace de prospecter en lit vif (au milieu et au plus profond de la rivière) ou sur les berges, à sec, derrière des blocs, racines, qui ne font obstacles qu'en période de crue ? Je serais très heureux si je pouvais bénéficier de vos avis éclairés sur cette question. Bien cordialement.
×
×
  • Créer...