Théophraste Posté(e) 7 décembre 2010 Signaler Posté(e) 7 décembre 2010 Aucune raison de s’inquiéter, selon l’AIE. Certains, comme un ancien directeur de l’Ecole nationale supérieure de géologie ne sont pas d’accord. Près de 30 % de la production des puits aujourd’hui en activité aura disparu dans 10 ans, passant de 68 à 48 millions de barils par jour (mb/j) en 2020. Et dans une génération, en 2035, les champs de pétrole actuellement exploités ne fourniront plus que 17 mb/j, soit moins d’un cinquième de la demande future Jusqu’ici jamais l’AIE n’avait admis une possible stagnation de la production de pétrole conventionnel. La pente du déclin des champs aujourd’hui en activité envisagé dans le nouveau rapport annuel de l’AIE est très prononcée, de l’ordre de 3 % par an. Cela représente 2 mb/j de capacités de production supplémentaires à mettre en place chaque année, soit un peu plus que la consommation d’un pays tel que la France. Citer
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