mineralparangon Posté(e) 26 juillet 2011 Auteur Signaler Posté(e) 26 juillet 2011 Allez Cadel, Yesss Man ! Une victoire à la patience... Dédiez-vous votre victoire à Aldo Sassi (Ndlr : son ancien entraîneur récemment décédé) ?Cadel Evans : J'ai regardé mon premier Tour, il y a 20 ans. J'ai vu Indurain gagner. Beaucoup de personnes ont cru en moi, depuis mon premier entraîneur quand j'avais 14 ans. Quand j'ai commencé les courses sur route, c'est Aldo Sassi qui a toujours cru en moi, plus que je ne croyais en moi-même. Je suis triste qu'il ne soit pas là. On est passé à six kilomètres de sa maison. Il m'a dit l'année dernière: «J'espère que tu vas gagner le Tour, tu en es capable. C'est la course la plus prestigieuse. Si tu gagnes, tu seras le coureur le plus complet de ta génération». J'aurais aimé qu'il soit là. les + Cadel Evans : le sensible, le batant, qui a patienté avant d'intégrer une équipe où il s'est épanoui. Pierre Rolland : l'humble serviteur de Voeckler, épuisé et valeureux dans les Pyrénées. Flamboyant dans l'étape mythique de l'Alpe. Remarquable. Thor Hushovd : a eu raison dans ces 2 échappées des Pyrénées, facultés impressionnantes aussi bien en sprint et en moyenne montagne. = Contador : en pénitence cette année. Franck Schleck : le régulier, qui a croisé la route de son frère. les - Andy Schleck : l'ambitieux, qui n'admet pas sa défaite, doit revoir son côté stratégique... peut être en écoutant du Rita Mitsouko ?! Cavendich : remercie encore et encore ses lièvres de coéquipiers gentiment en file indienne dans les étapes plates. Aime le sprint sur 150m, limité dans le contre-la-montre. Citer
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