▲ Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024 ▲ |
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Messages posté(e)s par chloroplaste
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Merci.
Difficile de faire des belles photos. Je ne dispose actuellement que d'un modeste téléphone portable.
Peut-on dire que les prismes à section franchement losangique sont des épidotes ?
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J'en ai cassé une. C'est bien une lithophyse : un cortex de rhyolite et un cœur de calcédoine. Je ne suis donc pas sur le bon forum.
Merci.
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Merci icarealcyon pour ces infos. Mes tourmalines sont effectivement lithiques et viennent de Madagascar, comme mes épidotes. Le problème est qu'elles sont mélangées dans la même boite.
Je ferai des photos demain des sommets des cristaux que je n'arrive pas à distinguer.
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Bonjour.
Sur quels critères puis-je distinguer une épidote d'une tourmaline verte, sachant que les densités, duretés et traces sont très voisines ?
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Bravo ! Cela correspond bien à de la "pierre de lune" d'après les diverses autres images que j'ai trouvées.
De plus, je peux constater une certaine adularescence sur la plupart des morceaux.
Malheureusement, je ne connais pas leur provenance.
Merci à tous.
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Oui de l'or, mais de l'or des fous ! (autre appellation de la pyrite).
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Bonjour.
Voici une pierre (roche ou minéral ?) que je ne reconnais pas.
La couleur est bleue (un peu plus foncée que sur la photo).
Elle raye à peine le verre.
La densité est d'environ 2,5.
Le trait est blanc.
Elle ne fait pas effervescence à l'acide.
Elle possède une fine gangue blanche (non carbonatée elle aussi).
Avez-vous une idée de ce que cela peut être ?
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Ben, il n'y a pas de carbonate de calcium dans cette histoire.
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Ça y est !
J'ai pu observer cette poudre au microscope. C'est amorphe, avec des grains très petits de quelques micromètres au maximum. Aucun spicule en vue.
Le test à l'acide est totalement négatif. C'est bien entièrement siliceux.
Que pensez-vous alors de mon explication sur l'origine de ces nucléus ?
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Je comprends bien le rôle de certains organismes vivants et de la pression dans les processus de précipitation / dissolution, mais il faut bien un apport non négligeable de silice dans les océans pour que se développent de manière abondante des organismes siliceux dans des mers épicontinentales telles que celles de la craie, dont les profondeurs ne devaient pas excéder quelques centaines de mètres (à reporter sur le graphique ci-dessous).
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D'où l'intérêt de tenter d'identifier des restes au microscope, ce que je ne manquerai pas de faire prochainement.
Par ailleurs, d'où provenait la silice nécessaire aux organismes constructeurs de tests siliceux ?
Sachant qu'il n'y avait pas vraiment de massifs cristallins en destruction dans la région à l'époque ! Encore un coup des volcans ?
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fossilo19 : OK, merci. Je tenterai ça dès que j'aurais accès à un microscope.
dorian. : Une hypothèse assez répandue désormais considère que la silice à l'origine des silex du Crétacé supérieur d'Europe occidentale provient des éruptions volcaniques aériennes provoquée par l'ouverture de l'Atlantique Nord. Les très abondantes cendres émises seraient venues saupoudrer régulièrement les mers chaudes à sédimentation carbonatée des alentours, même à des centaines de kilomètres de distance (L'Eyjafjoll en 2010 nous en a montré un exemple à très petite échelle). Ceci expliquerait non seulement la grande quantité de silice nécessaire pour former ces silex, mais aussi le grand nombre des lits de silex qui alternent avec les bancs de craies (de façon pas toujours régulière), et aussi l'absence de ces lits au crétacé inférieur (et bien sûr au Paléogène).
Dans cette hypothèse, je me demande si le cœur du nodule ne pourrait pas souvent correspondre à des cendres hydratées et roulées en boulette au fond de la mer. Cette boulette aurait ensuite servi de nucléus pour accrocher les molécules de silice dissoute qui seraient venues former tout autour le silex cryptocristallin.
Cela n'exclut pas la nucléation à partir d'éponges siliceuses ou divers tests pour d'autres nodules de silex.
Qu'en pensez-vous ?
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Dans cette hypothèse, il s'agirait d'une formation centripète du silex.
Je pense plutôt à une formation centrifuge, à partir de matière siliceuse non biogène mais... volcanique !
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Pas sûr du tout que les nodules se soient formés en milieu aérien. Du coup, difficile d'imaginer qu'ils recèlent un échantillon d'atmosphère ancienne. Mais le concept est séduisant.
Ma petite idée est en relation avec l'origine de la silice.
J'ai trouvé autre nodule. Je le casserai demain.
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Bon, il n'y a pas beaucoup de réponses à mon sujet. Encore en vacances ?
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J'ai effectivement déjà trouvé des tests d'éponges siliceuses dans des silex, par exemple des fossiles rouges dans des silex d'Etretat, mais ici cela ne semble pas organisé comme une construction biologique. Néanmoins, je pense qu'il s'agit aussi d'un matériau siliceux qui a joué le rôle de nucléus lors de la formation du silex.
J'ai bien une petite idée mais j'attends d'abord les avis.
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Petits sapins enneigés
dans Demandes d' identification de minéraux
Posté(e)
OK pour du quartz, mais pourquoi cette forme en pointe des agrégats cristallins ?