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Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Recherche silicifications tertiaires (opales résinites, opalites)


Duck Pipoune

Messages recommandés

Chers géopassionnés,

Je travaille actuellement sur un recensemment des gîtes tertiaires (Eocène moyen-supérieur / Oligocène inférieur) recelant des silicifications de types opales résinites et opalites. Celles-ci sont souvent associées à des meulières caverneuses ou non.

Déjà mentionné dans le sujet sur L'opale dans le Puy de Dome sur ce même forum (http://www.geoforum.fr/index.php?showtopic=1974&st=0), je souhaite étendre ce sujet sur le reste de la France.

Si vous connaissez des gîtes ou si vous posséder dans vos collections des échantillons ressemblant à de l'opale résinites ou de l'opalites.

Merci de me faire signe.

A très bientôt

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Salut Duck Pipoune,

visiblement, tu en connais un rayon sur les opales et autres opalites...

Je voudrai un petit avis sur ce sujet... à la vue de tes photos, je me serai cru en présence de silex...

Peux-tu me dire les différences entre silex, opales résinites, opalites... je suie un peu perdu. Toutes ces roches sont de silice... je sais que l'opale continet de l'eau dans son réseau cristallin... mais de là à dire un tel est opale et un autre est silex... pas évident

Merci :coucou!:

Eric

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Salut Duck Pipoune,

visiblement, tu en connais un rayon sur les opales et autres opalites...

Je voudrai un petit avis sur ce sujet... à la vue de tes photos, je me serai cru en présence de silex...

Peux-tu me dire les différences entre silex, opales résinites, opalites... je suie un peu perdu. Toutes ces roches sont de silice... je sais que l'opale continet de l'eau dans son réseau cristallin... mais de là à dire un tel est opale et un autre est silex... pas évident

Merci :super:

Eric

Cher Rives 3,

Le silex est une combinaison de cristaux de quartz de calcédoine et de traces d’opale. Dans le cas des opales résinites et des opalites, le taux de cristaux dépasse 60 à 80 % de la matière. Comme tu l'as si bien dit, l'opale et un type de cristallisation de la silice et elle contient 6 à 12 % d'eau. Mais cette structure est microcristalline en comparaison aux cristaux de quartz ou de calcédoine. Cette microstructure rend la surface d'éclatement de la roche très brillante et extrêmement fragile. L’opale résinite offre une multitude de faciès, mais en règle générale, elle est transparente et de couleur allant du rouge sang au brun ou gris nuit, elle est souvent zonée, marbrée ou ponctuée, tandis que l’opalites est opaque, de couleur brune et souvent zonée ou marbrée.

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BONSOIR

PERSO J AI TROUVER CA DANS DANS LE VERDON J AI CRU A DU SILEX MAIS MAINTENANT J AI UN DOUTE ???

Cher HOWLITE,

Les éléments que tu me présentes ressemblent bien à du silex, néanmoins il est délicat de faire une détermination précise d’après tes photos. La région des gorges du Verdon sont composées essentiellement de calcaire jurassique et crétacé pouvant recelé des silex, mais le bassin lacustre de Forcalquier dispose de silicifications tertiaires se rapprochant des opales résinites et des opalites. Le seul moyen de savoir si ces blocs sont bien des opales résinites est de trouver une surface d’éclatement fraiche très brillante. Mais attention car un séjour dans une rivière peut éroder les surfaces et lui donner un aspect brillant (lustré alluvial). Si celle-ci à une cassure mat, il est fort à parié qu’il s’agit de silex.

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Invité Rémi BORNET

:pas content:

L'opale n'est pas cristallisée, c'est un gel de silice... Pas de réseau, donc pas un minéral... Toute fois il s'agit d'un état métastable qui finira par recristalliser en quartz (état de moindre énergie).

La calcédoine est une variété microcristalline de quartz dont l'eau n'est pas contenue dans la structure mais entre la structure (un peu comme une éponge).

Voilou !

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Cher Rémi,

J’ai le regret de t’annoncé que l’opale résinite ou opale commune (opale CT) est bien cristallisé. « Longtemps considérée comme amorphe car elle est isotrope, elle apparait aujourd’hui partiellement formée d’agrégats de cristobalite (quadratique pseudocubique) ou de tridymite (orthorhombrique pseudohexagonal). »

POMEROL C. et RENARD M., 1989 : Eléments de géologie, 9ème édition, Editions Armand Colin, 1987, p. 217.

CHAMLEY H., 2000 : Bases de sédimentologie. 2ème édition, Editions Dunod, p. 132.

« Quant aux calcédoines, elles sont formées par l’empilement de cristallites de quartz qui lui donnent une texture fibreuse (calcédonite). »

POMEROL C. et RENARD M., 1989 : Eléments de géologie, 9ème édition, Editions Armand Colin, 1987, p. 217.

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j'ai trouvé ce qu'on appelle "ménilite" dans des schistes dissodyliques des Carpates de Roumanie (région Arges); selon le dico edit chez Masson page 281, il s'agirait de rognons d'opalite. Il faut que je fouille dans mes boites à poissons de l'Oligocène pour retrouver cette "ménilite". Est-ce que cela vous intéresse ? Contactez moi à a.holbecq@wanadoo.fr

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j'ai trouvé ce qu'on appelle "ménilite" dans des schistes dissodyliques des Carpates de Roumanie (région Arges); selon le dico edit chez Masson page 281, il s'agirait de rognons d'opalite. Il faut que je fouille dans mes boites à poissons de l'Oligocène pour retrouver cette "ménilite". Est-ce que cela vous intéresse ? Contactez moi à a.holbecq@wanadoo.fr

Cher André,

La ménilite ou silex ménilite (du nom de Ménilmontant 75) est en effet une opalite, mais celle-ci se trouve essentiellement dans les marno-calcaires à gypse de l’Eocène supérieur de Paris.

J’ignorais qu’on en trouvait dans des schistes roumains.

Si cela est possible, j’aimerais pouvoir la voir en photos si tu veux bien. Bien que cette opalite soit bien évidemment intéressante, elle sort de mon aire géographique, néanmoins je te remercie pour l’information.

Duck Pipoune

:super:

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:coucou!:

Superbe idée que cet inventaire. Il faudra nous prevenir quand la publication sortira (il y en aura une?)!

Perso on a sorti un gros truc il y a quelques temps à Cournon d'Auvergne. Des sacs entiers de silex taillés (silex noir à cortex). Mais le SRA (qu'on adore aussi :P ) nous a pas suivi sur cette histoire, ils ont même insinué qu'on avait fait du faux! c'est pour dire! Depuis que mister Coppens et mister Tuffreau les ont authentifiés ils la ramène un peu moins :siffler: . Bref je sais que ces petites choses voyageaient beaucoup à l'époque et on a beau chercher on sait toujours pas d'où cela vient.

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Invité Rémi BORNET

L'opale pur est un gel, l'opale résinite n'est pas à proprement parlé de l'opale ! La forme métastable de ce gel va le faire recristallisé en polymorphes de la silice (cf : mon cours de minéralogie, enseigné par Hervé MARTIN, chercheur au CNRS, travaillant entre autre sur les projets de mission marsienne...)

Si l'opale n'est plus un gel, c'est des formes de SiO2 mélangés... Je m'intéresse de très près à la lussatite qui est aussi un polymorphe de la silice entre calcédoine, opale, tridymite et cristobalite également rencontré dans les formation Tertiaire . L'étude américaine de 1996 de Caby & Al (in english of course) ne dévoile pas la vrai nature de ce minéral, c'est pour cela que l'on se réfère aujourd'hui à la description qu'en a fait Mallard lors de la découverte de ce minéral...

Si on regarde le diagramme PT de la silice, on voit que la cristobalite ne peut pas rester cristobalite à la température d'observation, de même pour la tridymite... A la sortie cela va donc nous donner du quartz !

@+

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L'opale pur est un gel, l'opale résinite n'est pas à proprement parlé de l'opale ! La forme métastable de ce gel va le faire recristallisé en polymorphes de la silice (cf : mon cours de minéralogie, enseigné par Hervé MARTIN, chercheur au CNRS, travaillant entre autre sur les projets de mission marsienne...)

Si l'opale n'est plus un gel, c'est des formes de SiO2 mélangés... Je m'intéresse de très près à la lussatite qui est aussi un polymorphe de la silice entre calcédoine, opale, tridymite et cristobalite également rencontré dans les formation Tertiaire . L'étude américaine de 1996 de Caby & Al (in english of course) ne dévoile pas la vrai nature de ce minéral, c'est pour cela que l'on se réfère aujourd'hui à la description qu'en a fait Mallard lors de la découverte de ce minéral...

Si on regarde le diagramme PT de la silice, on voit que la cristobalite ne peut pas rester cristobalite à la température d'observation, de même pour la tridymite... A la sortie cela va donc nous donner du quartz !

@+

Cher Rémi,

Je te remercie pour toutes ces informations et je m’excuse d’avoir douté de tes compétences dans ce domaine qui semble largement me dépasser, mais que nous reste t’il si les livres de géologie universitaire nous mentent.

Je me base sur des données que j’imaginais fiables et n’étant pas géologue mais archéologue, j’ai tendance à prendre au pied de la lettre ce que je lis.

Mais rassures-moi, la forme actuelle de l’opale résinite, issue de diatomite paléogène, est bien une phase évolutive de silicification issue d’une diagénèse précoce qui d’un gel de silice (opale A biosiliceuse) tend à se stabiliser sous forme de quartz (processus de chertification) en passant par un stade en opale CT et un autre en calcédonite (meulièrisation).

:coucou!:

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bonsoir Duck Pipoune

j ai fais une cassure fraiche et en effet la couleur et identique donc du silex (si j ai bien suivi)

desole de n avoir pas pu apporter mon "caillou" a ton édifice

cordialement

Christophe

Salut Christophe,

Lorsque tu as cassé ton bloc, as-tu observé une surface brillante ou mat. Si celle-ci est brillant, il ya de forte chance que ce soit du silex, au contraire si celle-ci est mat cela pourrait être du silex.

@ +

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:coucou!:

Superbe idée que cet inventaire. Il faudra nous prevenir quand la publication sortira (il y en aura une?)!

Perso on a sorti un gros truc il y a quelques temps à Cournon d'Auvergne. Des sacs entiers de silex taillés (silex noir à cortex). Mais le SRA (qu'on adore aussi :P ) nous a pas suivi sur cette histoire, ils ont même insinué qu'on avait fait du faux! c'est pour dire! Depuis que mister Coppens et mister Tuffreau les ont authentifiés ils la ramène un peu moins :siffler: . Bref je sais que ces petites choses voyageaient beaucoup à l'époque et on a beau chercher on sait toujours pas d'où cela vient.

Pour ceux qui souhaitent compléter leurs connaissances sur l’opales résinites et l’opalites et leurs utilisations durant la Préhistoire, je vous invite à consulter les quelques articles ci-dessous :

- GIOT P.-R., 1996 : L’opale résinite, Chronique de préhistoire et de la protohistoire finistériennes et des archéo-sciences. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, Tome CXXV, 1996, p. 25.

- GIOT P.-R., 1994 : Un matériau rare d’origine encore imprécise, Chronique de préhistoire et de la protohistoire finistériennes et des archéo-sciences. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, tome CXXIII, 1994, p.18-19.

- CORDIER G., 1998 : L’origine de l’opale résinite utilisée par les Néolithiques des Pays de la Loire : un problème qui s’éclaircit… ou qui se complique ? Revue Archéologique du Centre de la France, 1998, tome 37, p. 5-12.

- WERTH F., 1992 : L’opale résinite de Saint-Pierre-Eynac (Massif Central, France) : son contexte géologique et sa paléo-économie. mémoire de D.E.A., Université d’Aix-en-Provence Marseille, 50 pages.

- WERTH F., 1992 : L’opale résinite de Saint-Pierre-Eynac (Massif Central, France) : contexte géologique pour l’étude des matières premières lithiques. Préhistoire Anthropologie Méditerranéennes, LAPMO – Université de Provence - CNRS, tome I, 1992, p. 55-59.

- WERTH F., 2003 : L’opale résinite. In : BRACCO J.-P., 2003 : Déplacement des groupes humains et nature de l’occupation au sol en Velay (Massif Central, France ) au Paléolithique supérieur : intérêts de l’étude des matières premières minérales. Extrait de : L'Homme méditerranéen. Mélanges offerts à Gabriel Camps, Laboratoire d'Anthropologie et de Préhistoire des pays de la Méditerranée occidentale Publications de l'Université de Provence, 1995, 7 pages. Le recueil, articles électroniques, Pôle Images-sons et Recherche en Sciences Humaines , adresse internet : www.mmsh.univ-aix.fr/recueil/htmlbracco/winbracco.html.

- BLANCHARD N. et FORRE P., 2003 : Géologie et géographie de l'opale résinite et de l'opalite en Centre-ouest. Feuillets Mensuels de la Société Nantaise de Préhistoire, n° 411, 47ème année, Juin 2003, p. 34-39.

Bonne lecture

:lire2::lire:

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:coucou!:

Superbe idée que cet inventaire. Il faudra nous prevenir quand la publication sortira (il y en aura une?)!

Perso on a sorti un gros truc il y a quelques temps à Cournon d'Auvergne. Des sacs entiers de silex taillés (silex noir à cortex). Mais le SRA (qu'on adore aussi :lire2: ) nous a pas suivi sur cette histoire, ils ont même insinué qu'on avait fait du faux! c'est pour dire! Depuis que mister Coppens et mister Tuffreau les ont authentifiés ils la ramène un peu moins :siffler: . Bref je sais que ces petites choses voyageaient beaucoup à l'époque et on a beau chercher on sait toujours pas d'où cela vient.

Cher Victor,

Je sais qu’il est parfois difficile de communiquer avec les instances locales chargé de l’archéologie, mais la masse de travail qu’ils engrangent ne leurs permettent pas de toujours suivre les découvertes fortuites réalisées par des passionnés. C’est pour cela qu’il est important de compléter une fiche de découverte pour chaque site, et de la remettre à la Carte Archéologique du Service Régional de l’Archéologie de votre région, afin que l’information ne soit pas perdue et pour que les préhistoriens aient une vision d’ensemble de l’occupation humaine durant la Préhistoire et puissent définir les circuits d’approvisionnement des ressources siliceuses exploitées.

En ce qui concerne le silex noir utilisé sur ce site, il faudrait voir si celui-ci provient de sédiments marins (secondaire) ou lacustres (tertiaire). Certains silex crétacés supérieurs noirs ont été exportés jusqu’au cœur du Massif central depuis le sud du Bassin parisien. Mais certains faciès d’opalites sont assez sombres et opaques.

Alors méfiance.

Pour plus d’info :

SURMELY F., 2006 : La diffusion des silex crétacés dans le Massif-Central. Prospections thématique, Année 2006, 36 pages.

http://www.univ-bpclermont.fr/LABOS/geolab...ap2006Silex.pdf

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L'opale pur est un gel, l'opale résinite n'est pas à proprement parlé de l'opale ! La forme métastable de ce gel va le faire recristallisé en polymorphes de la silice (cf : mon cours de minéralogie, enseigné par Hervé MARTIN, chercheur au CNRS, travaillant entre autre sur les projets de mission marsienne...)

Si l'opale n'est plus un gel, c'est des formes de SiO2 mélangés... Je m'intéresse de très près à la lussatite qui est aussi un polymorphe de la silice entre calcédoine, opale, tridymite et cristobalite également rencontré dans les formation Tertiaire . L'étude américaine de 1996 de Caby & Al (in english of course) ne dévoile pas la vrai nature de ce minéral, c'est pour cela que l'on se réfère aujourd'hui à la description qu'en a fait Mallard lors de la découverte de ce minéral...

Si on regarde le diagramme PT de la silice, on voit que la cristobalite ne peut pas rester cristobalite à la température d'observation, de même pour la tridymite... A la sortie cela va donc nous donner du quartz !

@+

Cher Rémi,

Voici quelques informations sur les différentes classifications minéralogiques de l'opale extraitent de la thèse de Eloïse Gaillou.

- L’opale C (diffractogramme :grand sourire: est la variété d’opale la plus proche du pôle

cristobalitique, avec seulement une petite quantité de tridymite. L’élargissement des pics est

peu marqué. Ce diffractogramme d’opale C est interprété par Jones & Segnit (1971b) comme

étant de la cristobalite-α bien ordonnée.

- L’opale CT (diffractogrammes D à F) est également une variété cristalline avec des

pics bien définis de cristobalite et de tridymite, mais considérablement élargis. Les auteurs

interprètent ces diffractogrammes comme de la cristobalite-α avec divers degrés de désordre,

mêlée à de la tridymite-α.

- L’opale A (courbes G et H) est quant à elle caractérisée par un diffractogramme

constitué principalement d’une bande large très diffuse centrée vers environ 4,1 Å. L’opale A

est donc considérée par les auteurs comme très désordonnée, presque amorphe.

_________________

@+

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Invité Rémi BORNET

Bonsoir,

Merci d'avoir précisé dans le détail ce qu'est l'opale : en théorie un gel complètement amorphe, dans la réalité le mélange d'un gel et de polymorphes siliceux réparti en plus ou moins grande proportion.

@+ :sourire:

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Bonsoir,

Merci d'avoir précisé dans le détail ce qu'est l'opale : en théorie un gel complètement amorphe, dans la réalité le mélange d'un gel et de polymorphes siliceux réparti en plus ou moins grande proportion.

@+ :super:

Merci surtout à Eloïse Gaillou d'avoir mis en ligne sa thèse sur les opales.

http://www.gemnantes.fr/recherche/opale/index.html

PS: une autre thèse est disponible sur le même site et sur le même sujet.

@+ et bonne lecture

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Dans le cas de l'opale CT tu vas avoir pas mal de recencements dans le puy de dome,yous les sites a lussatite...

J'ai entendu parler de la résinite,je penses avoir trouvé de cette chose a busséol,c'était opaque mais l'eclat au niveau de la cassure était clairement celui de l'opale,c'était en remplissage de géodes de calcedoine et calcite(pas verifié de facon cristallographique,mais mousse au chlorhydrique,donc deduction,les cristaux étaient petits et abimés mais semblaient rhomboedriques,ils étaient blancs.

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Dans le cas de l'opale CT tu vas avoir pas mal de recencements dans le puy de dome,yous les sites a lussatite...

J'ai entendu parler de la résinite,je penses avoir trouvé de cette chose a busséol,c'était opaque mais l'eclat au niveau de la cassure était clairement celui de l'opale,c'était en remplissage de géodes de calcedoine et calcite(pas verifié de facon cristallographique,mais mousse au chlorhydrique,donc deduction,les cristaux étaient petits et abimés mais semblaient rhomboedriques,ils étaient blancs.

Hello Parfaitelumière,

Pour l'instant, mes recherches commencent juste en Auvergne,mais apparemment c'est bien partie.

Je suis étonné que tu ai trouvé de la calcite associé à de la calcédoine dans une géode d'opale résinite.

Autrement, il important de ne pas confondre "l'opale résinite" et "la rétinite".

Le premier se trouve dans des filons hydrothermaux ou dans des niveaux calcaires éocènes.

Le second est aussi nommée "pechstein" et est une rhyolite vitreuse et se forme dans les complexes volcaniques.

Pourrais-tu nous fournir une photos afin de mieux apprécier tout ceci.

Merci et @+

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