gourault

Bonjour tout le monde, concernant la "dririsation" d'anciennes galeries, je pense effectivement qu'il n'y a plus de budget. Pour preuve: le secteur compris entre Lourdes, Bagnères de Bigorre et Argelès-Gazost comporte de très nombreux gisements de Pb-Zn-Ag (Cu) sur lesquels sont ouvertes de très nombreuses galeries, facilement accessibles pour certaines, qui n'ont pas été touchées. Je reste volontairement vague sur leur position, pas envie de voir arriver les "reboucheurs"!

Rebonjour quartz, les coordonnées sont celles "pifométriques" données par Infoterre (BRGM). Connaissant un peu de monde dans cette vénérable maison je suis presque persuadé qu'ils ne sont pas montés sur place, d'où mon intérêt pour ce site éventuel. Eventuel car les infos datent tout de même du 18ème siècle, même si Dietrich était précis pour son époque. J'y monterais, promis, et si jamais j'y trouve quelque chose je ne manquerais pas de le signaler. Et si je ne trouve rien ce sera l'objet d'une belle randonnée. Alors quoi qu'il arrive, ce ne sera que du bon!

Bonjour "Quartz", tu n'avais pas à t'excuser! Je note les coordonnées Lambert dont je te remercie. Reste à attendre que la neige fonde et....ce n'est pas pour demain!

Bonjour tout le monde, je cherche des renseignements sur un hypothétique indice de cuivre signalé par Dietrich près du Lac de Montarrouye et dont l'auteur considère l'affleurement comme étant de toute beauté. Bien entendu je suis preneur de toutes les infos possibles et imaginables ! Pour celles et ceux qui ne connaissent pas le texte originel, je vous le livre: " voici ce qu'il en dit: "Au-dessous de cette même montagne (Arbizon), du côté de la vallée de Campan, à l'est-sud-est de l'Etang de Montaroye (sic), pente orientale de ce bassin, au pied du Templa, est une face de rocher schisteux de plus de 3 toises de largeur (env. 6m), paraissant entrer dans la montagne entre quatre et cinq heures, toute pénétrée de verd de montagne, de mine de cuivre hépatique et d'ochre jaune qui y couvre presque toujours de la mine de cuivre jaune et du verd de montagne. Cette masse se voit sur une hauteur de plus de quinze toises (env. 30 m). Elle est à une élévation considérable; de manière qu'il n'y a nul embarras pour l'écoulement des eaux; et le chemin pour y arriver est facile par la vallée de Campan. Cette tête de mine est vraiment de toute beauté. Il serait bien extraordinaire que cette grande abondance d'efflorescences ne fut due qu'à un minéral superficiel". Ce qui m'a interpellé c'est le terme "de toute beauté" mais, à priori, personne n'a semble t'il retrouvé cet affleurement qui, au vu de cette description très ancienne, doit se voir d'assez loin